Notre revue de presse politique du 26 Septembre 2011
Le PS a conquis le Sénat
La victoire obtenue par la gauche aux sénatoriales en France est un premier pas pour les socialistes vers un succès à l'élection présidentielle de 2012, a déclaré lundi Harlem Désir, premier secrétaire du PS par intérim. La gauche a conquis dimanche le Sénat, décrochant 177 sièges, soit deux de plus que la majorité absolue à la haute assemblée, qui compte 348 élus. (www.fr.reuters.com)
La droite espère sauver la présidence du Sénat
Au lendemain de la victoire de la gauche aux élections sénatoriales, la droite admet lundi sa défaite, mais espère encore conserver la présidence du Sénat, qui se jouera lors d'un vote organisé le 1er octobre. "La vérité politique, c'est que cette élection est un avertissement sérieux pour notre majorité. C'est la première fois que le Sénat bascule à gauche depuis 1958", a reconnu le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire -en charge du programme de l'UMP pour 2012- sur Radio classique. (www.associatedpress.com)
"Une grogne des territoires" selon Raffarin
Le sénateur UMP Jean-Pierre Raffarin a estimé lundi que la victoire de la gauche lors des sénatoriales dénote "une véritable grogne des territoires", appelant à "infléchir la politique gouvernementale vers plus de proximité". L'ancien Premier ministre s'est toutefois montré optimiste quant à une victoire de l'UMP Gérard Larcher à la présidence du Sénat. (www.associatedpress.com)
l'UMP divisée par l'échec aux élections sénatoriales
Si le manque d'unité de la majorité est pointé du doigt par tous, certains demandent que la politique gouvernementale se rapproche des territoires pour la fin du quinquennat. À qui la faute si le Sénat a basculé à gauche? Dans les rangs de la droite, l'explication varie selon les sources. François Fillon et Jean-François Copé se renvoient la balle. Reçus tous les deux lundi matin pendant une heure par Nicolas Sarkozy, ils ont été instamment priés de ne pas rouvrir les hostilités, mais le résultat des sénatoriales a mis à mal la trêve qu'ils avaient signée avant l'été.
Le président du Sénat sera élu le 1° octobre
Le nouveau Sénat, fort de 348 membres, compte 124 élus UMP, 18 divers droite, un élu du Mouvement pour la France (MPF), 12 Nouveau Centre, quatre MoDem, quatre élus du Parti radical, sept de l'Alliance centriste, un élu de la Gauche moderne, 123 élus PS, dix PRG, dix écologistes, 13 divers gauche, 20 élus communistes et un élu du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Jean-Pierre Chevènement. Le scrutin débutera samedi à 15h. La majorité absolue des suffrages exprimés est nécessaire aux deux premiers tours. La majorité relative suffit au troisième.
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
La victoire obtenue par la gauche aux sénatoriales en France est un premier pas pour les socialistes vers un succès à l'élection présidentielle de 2012, a déclaré lundi Harlem Désir, premier secrétaire du PS par intérim. La gauche a conquis dimanche le Sénat, décrochant 177 sièges, soit deux de plus que la majorité absolue à la haute assemblée, qui compte 348 élus. (www.fr.reuters.com)
La droite espère sauver la présidence du Sénat
Au lendemain de la victoire de la gauche aux élections sénatoriales, la droite admet lundi sa défaite, mais espère encore conserver la présidence du Sénat, qui se jouera lors d'un vote organisé le 1er octobre. "La vérité politique, c'est que cette élection est un avertissement sérieux pour notre majorité. C'est la première fois que le Sénat bascule à gauche depuis 1958", a reconnu le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire -en charge du programme de l'UMP pour 2012- sur Radio classique. (www.associatedpress.com)
"Une grogne des territoires" selon Raffarin
Le sénateur UMP Jean-Pierre Raffarin a estimé lundi que la victoire de la gauche lors des sénatoriales dénote "une véritable grogne des territoires", appelant à "infléchir la politique gouvernementale vers plus de proximité". L'ancien Premier ministre s'est toutefois montré optimiste quant à une victoire de l'UMP Gérard Larcher à la présidence du Sénat. (www.associatedpress.com)
l'UMP divisée par l'échec aux élections sénatoriales
Si le manque d'unité de la majorité est pointé du doigt par tous, certains demandent que la politique gouvernementale se rapproche des territoires pour la fin du quinquennat. À qui la faute si le Sénat a basculé à gauche? Dans les rangs de la droite, l'explication varie selon les sources. François Fillon et Jean-François Copé se renvoient la balle. Reçus tous les deux lundi matin pendant une heure par Nicolas Sarkozy, ils ont été instamment priés de ne pas rouvrir les hostilités, mais le résultat des sénatoriales a mis à mal la trêve qu'ils avaient signée avant l'été.
Le président du Sénat sera élu le 1° octobre
Le nouveau Sénat, fort de 348 membres, compte 124 élus UMP, 18 divers droite, un élu du Mouvement pour la France (MPF), 12 Nouveau Centre, quatre MoDem, quatre élus du Parti radical, sept de l'Alliance centriste, un élu de la Gauche moderne, 123 élus PS, dix PRG, dix écologistes, 13 divers gauche, 20 élus communistes et un élu du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Jean-Pierre Chevènement. Le scrutin débutera samedi à 15h. La majorité absolue des suffrages exprimés est nécessaire aux deux premiers tours. La majorité relative suffit au troisième.
Source: Yahoo News
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