Des fers à béton, autrement dit des morceaux de métal, ont été trafiqués pour pouvoir être fixé sur des caténaires.
1. Saboter une ligne: un parcours du combattant
Pour Jean-Louis Rohou, secrétaire général de Réseau Ferré de France (RFF), sur l'antenne de France Info, il faut être expert : "Il s'agit de lignes haute tension à 25.000 volts. On s'expose à un grave danger dès qu'on s'en approche de quelques dizaines de centimètres. En plus, elles ne sont pas faciles d'accès, car toutes les lignes à grande vitesse sont clôturées."
2. Des coïncidences troublantes
"Dans la même matinée, quatre actes de de malveillance de même type sur les lignes à grande vitesse du réseau Nord, Est et Ouest, ça pose des questions", remarque Jean-Louis Rohou, de RFF, sur France Info.
Même son de cloche chez Guillaume Pépy dans le JDD: "Cinq des six incidents récents ont été provoqués par des fers à béton posés sur la caténaire, le fil d'alimentation électrique qui surplombe la voie". Dans le Parisien de ce dimanche, il explique qu'il n'exclut aucun hypothèse "entre des actes de malveillance ou un sabotage". Voire carrément l'action d'une bande organisée.
Même l'Élysée s'empare de l'affaire. "Il est clair que si c'est intervenu en 3 endroits différents quasiment en même temps, il y a une action concertée de sabotage", a dit Claude Guéant, secrétaire général de l'Élysée sur RTL.
3. Des actes... pas si rares que ça
Le président de RFF sur France Info explique qu'il y avait "très souvent" des actes de ce genre sur le réseau, mais qu'ils ne prêtent que "rarement" à conséquence. Les ministres de l'Intérieur et de la Justice ont demandé la plus grande sévérité pour toute personne convaincue d'avoir saboté une caténaire...
4. Que faire contre ces sabotages ?
Guillaume Pepy, le président de la SNCF, veut une surveillance accrue du réseau ferré. Facile à dire, mais comment faire ? "On ne va pas pouvoir du jour au lendemain mettre des clôtures renforcées. c'est bien pour ça qu'il va falloir renforcer les moyens de surveillance ou de vidéosurveillance", explique le président de RFF
Source: Yahoo News
1. Saboter une ligne: un parcours du combattant
Pour Jean-Louis Rohou, secrétaire général de Réseau Ferré de France (RFF), sur l'antenne de France Info, il faut être expert : "Il s'agit de lignes haute tension à 25.000 volts. On s'expose à un grave danger dès qu'on s'en approche de quelques dizaines de centimètres. En plus, elles ne sont pas faciles d'accès, car toutes les lignes à grande vitesse sont clôturées."
2. Des coïncidences troublantes
"Dans la même matinée, quatre actes de de malveillance de même type sur les lignes à grande vitesse du réseau Nord, Est et Ouest, ça pose des questions", remarque Jean-Louis Rohou, de RFF, sur France Info.
Même son de cloche chez Guillaume Pépy dans le JDD: "Cinq des six incidents récents ont été provoqués par des fers à béton posés sur la caténaire, le fil d'alimentation électrique qui surplombe la voie". Dans le Parisien de ce dimanche, il explique qu'il n'exclut aucun hypothèse "entre des actes de malveillance ou un sabotage". Voire carrément l'action d'une bande organisée.
Même l'Élysée s'empare de l'affaire. "Il est clair que si c'est intervenu en 3 endroits différents quasiment en même temps, il y a une action concertée de sabotage", a dit Claude Guéant, secrétaire général de l'Élysée sur RTL.
3. Des actes... pas si rares que ça
Le président de RFF sur France Info explique qu'il y avait "très souvent" des actes de ce genre sur le réseau, mais qu'ils ne prêtent que "rarement" à conséquence. Les ministres de l'Intérieur et de la Justice ont demandé la plus grande sévérité pour toute personne convaincue d'avoir saboté une caténaire...
4. Que faire contre ces sabotages ?
Guillaume Pepy, le président de la SNCF, veut une surveillance accrue du réseau ferré. Facile à dire, mais comment faire ? "On ne va pas pouvoir du jour au lendemain mettre des clôtures renforcées. c'est bien pour ça qu'il va falloir renforcer les moyens de surveillance ou de vidéosurveillance", explique le président de RFF
Source: Yahoo News