La Grèce dément les rumeurs de scénarios sur sa sortie de l'euro
Le ministère grec des Finances a démenti «catégoriquement» mercredi les rumeurs évoquées au sein de l’Eurogroupe selon lesquelles il a été demandé aux membres de la zone euro de préparer des plans de sortie de la Grèce de la zone euro. «Le ministère grec des Finances dément catégoriquement les articles selon lesquels lors d’une téléconférence tenue (mercredi) dans le cadre de l’Eurogroupe, il a été demandé aux membres de la zone euro de préparer des plans pour faire face à une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro», a-t-il indiqué dans un communiqué. «Ce genre d’articles ne correspond pas à la réalité mais nuit à l’effort que fait le pays pour faire face à ses problèmes», selon ce texte ministériel. Ces rumeurs ont été évoquées avant le sommet informel à Bruxelles où les dirigeants européens se retrouvent mercredi soir pour discuter de la croissance mais aussi des inquiétudes sur un éventuel naufrage de la Grèce. Mercredi, sur les marchés, l’euro est tombé sous 1,26 dollar pour la première fois depuis l'été 2010 tandis que les bourses européennes ont fortement chuté, accusant d’importantes pertes, notamment les valeurs bancaires.(libération.fr) Une sortie de la zone euro par la Grèce détruirait l'Europe de l'intérieure.
En Espagne, la crise ne tue pas, l’austérité, si
L'Espagne va-t-elle faire face, comme la Grèce et l'Italie, à une «vague de suicides économiques»? Faut-il parler du suicide? Si oui, comment? Telle est la question, simple en apparence, à laquelle doivent répondre les médias espagnols depuis le début de la crise économique. Simple en apparence car, quand on pense à la crise, surgissent des images de détresse sociale qui peut vite mener du dénuement au renoncement. «C'est un fait connu que les crises économiques ont sur le penchant au suicide une influence négative», écrivait Emile Durkheim dans Le Suicide, publié en 1897. Une vieille histoire. «La maudite crise a tué mon mari». Mais en Espagne, cette question n'est pas née avec la crise, pas plus que le suicide n'est -du moins exclusivement- une réponse à la dégradation économique qui frappe avec violence les sociétés d'Europe du Sud. En réalité, le silence médiatique espagnol et le tabou social qui pèsent depuis toujours sur le suicide (l'enterrement des suicidés dans un cimetière était interdit jusqu'en 1983) commencent à tomber pour laisser place à un besoin de transmission.(slate.fr) La crise est une arme de manipulation massive des peuples.
Italie : Parme, symbole du rejet des politiques
Porté par le mouvement de Beppe Grillo, Federico Pizzarotti veut y incarner le renouveau. Lors des élections municipales, le Mouvement 5 Étoiles du comique contestataire et antipolitique Beppe Grillo a créé la surprise en s'emparant de quatre mairies. «Nous avons pris Stalingrad. Marchons maintenant sur Berlin», s'est enflammé sur son blog Grillo, qui se voit désormais crédité de 14% au niveau national. À Parme, riche agglomération de 190.000 habitants célèbre par ses jambons et ses parmesans, le renouveau a les traits de Federico Pizzarotti, 39 ans, jeune responsable de projet informatique dans une banque. Porté par les réseaux sociaux, ce personnage inconnu du grand public il y a six mois a recueilli 60% des suffrages, devançant son adversaire de gauche. Il est devenu le plus jeune maire jamais élu à Parme. Entre le premier et le second tour, Federico Pizzarotti a gagné 34.000 voix, une progression que ce nouveau maire attribue à sa promesse d'instaurer la transparence: les débats de son conseil municipal seront retransmis en direct sur le Web. La population sera consultée sur tous les grands dossiers. Son style photogénique, sa décontraction et son sourire perpétuel ont contribué à le rendre sympathique.(lefigaro.fr) Ce qu'il ya d'étrange avec les démocraties latine, c'est qu'elles sont vraiment démocratiques.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Le ministère grec des Finances a démenti «catégoriquement» mercredi les rumeurs évoquées au sein de l’Eurogroupe selon lesquelles il a été demandé aux membres de la zone euro de préparer des plans de sortie de la Grèce de la zone euro. «Le ministère grec des Finances dément catégoriquement les articles selon lesquels lors d’une téléconférence tenue (mercredi) dans le cadre de l’Eurogroupe, il a été demandé aux membres de la zone euro de préparer des plans pour faire face à une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro», a-t-il indiqué dans un communiqué. «Ce genre d’articles ne correspond pas à la réalité mais nuit à l’effort que fait le pays pour faire face à ses problèmes», selon ce texte ministériel. Ces rumeurs ont été évoquées avant le sommet informel à Bruxelles où les dirigeants européens se retrouvent mercredi soir pour discuter de la croissance mais aussi des inquiétudes sur un éventuel naufrage de la Grèce. Mercredi, sur les marchés, l’euro est tombé sous 1,26 dollar pour la première fois depuis l'été 2010 tandis que les bourses européennes ont fortement chuté, accusant d’importantes pertes, notamment les valeurs bancaires.(libération.fr) Une sortie de la zone euro par la Grèce détruirait l'Europe de l'intérieure.
En Espagne, la crise ne tue pas, l’austérité, si
L'Espagne va-t-elle faire face, comme la Grèce et l'Italie, à une «vague de suicides économiques»? Faut-il parler du suicide? Si oui, comment? Telle est la question, simple en apparence, à laquelle doivent répondre les médias espagnols depuis le début de la crise économique. Simple en apparence car, quand on pense à la crise, surgissent des images de détresse sociale qui peut vite mener du dénuement au renoncement. «C'est un fait connu que les crises économiques ont sur le penchant au suicide une influence négative», écrivait Emile Durkheim dans Le Suicide, publié en 1897. Une vieille histoire. «La maudite crise a tué mon mari». Mais en Espagne, cette question n'est pas née avec la crise, pas plus que le suicide n'est -du moins exclusivement- une réponse à la dégradation économique qui frappe avec violence les sociétés d'Europe du Sud. En réalité, le silence médiatique espagnol et le tabou social qui pèsent depuis toujours sur le suicide (l'enterrement des suicidés dans un cimetière était interdit jusqu'en 1983) commencent à tomber pour laisser place à un besoin de transmission.(slate.fr) La crise est une arme de manipulation massive des peuples.
Italie : Parme, symbole du rejet des politiques
Porté par le mouvement de Beppe Grillo, Federico Pizzarotti veut y incarner le renouveau. Lors des élections municipales, le Mouvement 5 Étoiles du comique contestataire et antipolitique Beppe Grillo a créé la surprise en s'emparant de quatre mairies. «Nous avons pris Stalingrad. Marchons maintenant sur Berlin», s'est enflammé sur son blog Grillo, qui se voit désormais crédité de 14% au niveau national. À Parme, riche agglomération de 190.000 habitants célèbre par ses jambons et ses parmesans, le renouveau a les traits de Federico Pizzarotti, 39 ans, jeune responsable de projet informatique dans une banque. Porté par les réseaux sociaux, ce personnage inconnu du grand public il y a six mois a recueilli 60% des suffrages, devançant son adversaire de gauche. Il est devenu le plus jeune maire jamais élu à Parme. Entre le premier et le second tour, Federico Pizzarotti a gagné 34.000 voix, une progression que ce nouveau maire attribue à sa promesse d'instaurer la transparence: les débats de son conseil municipal seront retransmis en direct sur le Web. La population sera consultée sur tous les grands dossiers. Son style photogénique, sa décontraction et son sourire perpétuel ont contribué à le rendre sympathique.(lefigaro.fr) Ce qu'il ya d'étrange avec les démocraties latine, c'est qu'elles sont vraiment démocratiques.
Source: Yahoo actualités
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