"Deux avions russes ont violé l'espace aérien. En l'état, un missile qui avait été tiré a été retrouvé. On en trouvera peut-être d'autres", a déclaré à l'AFP Chota Outiachvili, le porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur.
Le missile n'avait pas explosé, selon Tbilissi.
"La région est quadrillée. L'enquête est en cours" autour du village de Chavchveli, près de la frontière avec l'Ossétie du Sud, a ajouté le porte-parole géorgien.
Des démineurs géorgiens travaillent sur place pour retrouver d'éventuels autres missiles tirés, selon les autorités géorgiennes, par des Su-24, un bombardier apprécié pour ses capacités de bombardement à faible altitude.
Dans la nuit, le ministère géorgien de l'Intérieur avait annoncé dans un communiqué que "lundi à 19h30 (15H30 GMT) deux avions russes, apparemment des bombardiers Su-24, ont violé l'espace aérien près de Kazbegui et ont volé jusqu'à Gori".
"Les Russes ont tiré des missiles air-sol et ont bombardé les environs du villages de Tsiteloubani", avait également accusé le ministère géorgien, soulignant qu'il n'y avait pas eu de victimes, le missile n'explosant pas.
La région, bombardée selon Tbilissi, se trouve à environ 30 km de la "capitale" de l'Ossétie du Sud.
"Nous démentons catégoriquement toute implication dans ces événements", a déclaré à l'AFP le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. "Ces déclarations ne correspondent pas à la réalité. Ce n'est bien sûr pas nous, les Russes, qui avons fait cela", a ajouté M. Peskov.
L'armée de l'air russe a également démenti toute implication.
"Les avions russes n'ont accompli aucune mission de vol ni lundi ni ce matin dans cette région et n'ont pas pu violer l'espace aérien" de la Géorgie, a déclaré le colonel Alexandre Drobychevskï, porte-parole de l'armée de l'air.
A Tskhinvali, "capitale" de la république indépendantiste d'Ossétie du Sud, le président Edouard Kokoïty a confirmé le tir de missiles mais affirmé qu'il venait d'un avion géorgien.
"C'est une provocation de la partie géorgienne visant à discréditer la Russie", a déclaré le "président" pro-russe cité par l'agence Interfax.
"Une bombe est tombée près d'un village de la région de Gori. La seconde est tombée dans une forêt sur le territoire d'Ossétie du Sud", a précisé M. Kokoïty.
Le missile n'avait pas explosé, selon Tbilissi.
"La région est quadrillée. L'enquête est en cours" autour du village de Chavchveli, près de la frontière avec l'Ossétie du Sud, a ajouté le porte-parole géorgien.
Des démineurs géorgiens travaillent sur place pour retrouver d'éventuels autres missiles tirés, selon les autorités géorgiennes, par des Su-24, un bombardier apprécié pour ses capacités de bombardement à faible altitude.
Dans la nuit, le ministère géorgien de l'Intérieur avait annoncé dans un communiqué que "lundi à 19h30 (15H30 GMT) deux avions russes, apparemment des bombardiers Su-24, ont violé l'espace aérien près de Kazbegui et ont volé jusqu'à Gori".
"Les Russes ont tiré des missiles air-sol et ont bombardé les environs du villages de Tsiteloubani", avait également accusé le ministère géorgien, soulignant qu'il n'y avait pas eu de victimes, le missile n'explosant pas.
La région, bombardée selon Tbilissi, se trouve à environ 30 km de la "capitale" de l'Ossétie du Sud.
"Nous démentons catégoriquement toute implication dans ces événements", a déclaré à l'AFP le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. "Ces déclarations ne correspondent pas à la réalité. Ce n'est bien sûr pas nous, les Russes, qui avons fait cela", a ajouté M. Peskov.
L'armée de l'air russe a également démenti toute implication.
"Les avions russes n'ont accompli aucune mission de vol ni lundi ni ce matin dans cette région et n'ont pas pu violer l'espace aérien" de la Géorgie, a déclaré le colonel Alexandre Drobychevskï, porte-parole de l'armée de l'air.
A Tskhinvali, "capitale" de la république indépendantiste d'Ossétie du Sud, le président Edouard Kokoïty a confirmé le tir de missiles mais affirmé qu'il venait d'un avion géorgien.
"C'est une provocation de la partie géorgienne visant à discréditer la Russie", a déclaré le "président" pro-russe cité par l'agence Interfax.
"Une bombe est tombée près d'un village de la région de Gori. La seconde est tombée dans une forêt sur le territoire d'Ossétie du Sud", a précisé M. Kokoïty.