Publi-Reportages
17/08/2007 15:27

La Fondation Popa, publié par les éditions du Panama, est le septième roman


Le livre raconte l’histoire de Metzler Popa, célèbre
peintre devenu amnésique, qui ne reconnaît plus son œuvre et ne sait plus comment la
prolonger... Plus qu’un texte surréaliste, à la croisée des genres, entre le «
réalisme merveilleux » et l’écriture d’un Brautigan, d’une réflexion sur la
création, il s’agit d’un texte sur la mémoire, la transmission, et la perte. Dans le
prolongement, un blog – htttp://popablog.blogspot.com - s’est créé autour de
l’univers de ce roman si particulier.

Rappel presse (extraits):

«La Fondation Popa ne manque ni d'élégance, ni de qualités. Si son style extrêmement
pur évoque étonnement les grands de la ligne claire (Hergé, Edgar P. Jacob, Yves
Chaland et Ted Benoît), le roman emprunte aussi au charme suranné des Perec, Raymond
Roussel ou Kafka, tout en débordant parfois vers les excentricités contemporaines
d'un Will Self. Au fil des pages on croise Buddy Holly, Yma Sumac ou Madame
Pompidou, sur fond de Devo et de Jonathan Richman… » Maxence Grugier /
Mille-Feuilles

«A découvrir absolument, tant il dénote avec le paysage littéraire francophone
d’aujourd’hui. »
Christophe Greuet / Culture-Café

« Par petites touches impressionnistes, chapitre après chapitre, La Fondation Popa
distille son intrigue, ses anecdotes et ses coups de folie… Une évocation
surréaliste, un rien cruel du monde de l'art doublé d'une réflexion sur la création.
» Olivier Delcroix / Le Figaro

«La Fondation Popa, de son style modeste qui confine à la virtuosité, est surtout
une redoutable plongée dans les affres de la création : sa fragilité, les mystères
de sa naissance, de sa transmission. C’est enfin un hommage à ce qui rend l’homme
humain et digne. » Jacques Lindecker / L'Alsace

«Est sorti il y a quelques semaines un O.L.N.I., un Objet Littéraire Non Identifié,
un roman qui s'appelle La Fondation Popa…» François Castaing / France Musique

«L’auteur laisse entendre qu’écrire c’est témoigner, alors que raconter c’est
résister, donne à voir plus fort que la vie…» Alain Veinstein / France Culture

« Dans une atmosphère surréaliste défile une formidable galerie de portraits,
témoins loufoque d’un passé qui se dérobe… Le roman de L.-S. Ulysse soulève aussi de
manière singulière le problème de l’identité, en partant du désir et de la mémoire.
» Sean Jean Rose / Numéro

«L.-S. Ulysse s’invente un style nouveau, une écriture très différente de ce qu’il
avait écrit à ses débuts comme « Soleil sale » ou « La mission des flammes », des
romans sombres à l’écriture rugueuse et violente.» Stéphane Berthomet / Le Magazine
des livres

Contact presse :
[popa.panama@laposte.net]mail:Le livre raconte l’histoire de Metzler Popa, célèbre
peintre devenu amnésique, qui ne reconnaît plus son œuvre et ne sait plus comment la
prolonger... Plus qu’un texte surréaliste, à la croisée des genres, entre le «
réalisme merveilleux » et l’écriture d’un Brautigan, d’une réflexion sur la
création, il s’agit d’un texte sur la mémoire, la transmission, et la perte. Dans le
prolongement, un blog – htttp://popablog.blogspot.com - s’est créé autour de
l’univers de ce roman si particulier.

Rappel presse (extraits):

«La Fondation Popa ne manque ni d'élégance, ni de qualités. Si son style extrêmement
pur évoque étonnement les grands de la ligne claire (Hergé, Edgar P. Jacob, Yves
Chaland et Ted Benoît), le roman emprunte aussi au charme suranné des Perec, Raymond
Roussel ou Kafka, tout en débordant parfois vers les excentricités contemporaines
d'un Will Self. Au fil des pages on croise Buddy Holly, Yma Sumac ou Madame
Pompidou, sur fond de Devo et de Jonathan Richman… » Maxence Grugier /
Mille-Feuilles

«A découvrir absolument, tant il dénote avec le paysage littéraire francophone
d’aujourd’hui. »
Christophe Greuet / Culture-Café

« Par petites touches impressionnistes, chapitre après chapitre, La Fondation Popa
distille son intrigue, ses anecdotes et ses coups de folie… Une évocation
surréaliste, un rien cruel du monde de l'art doublé d'une réflexion sur la création.
» Olivier Delcroix / Le Figaro

«La Fondation Popa, de son style modeste qui confine à la virtuosité, est surtout
une redoutable plongée dans les affres de la création : sa fragilité, les mystères
de sa naissance, de sa transmission. C’est enfin un hommage à ce qui rend l’homme
humain et digne. » Jacques Lindecker / L'Alsace

«Est sorti il y a quelques semaines un O.L.N.I., un Objet Littéraire Non Identifié,
un roman qui s'appelle La Fondation Popa…» François Castaing / France Musique

«L’auteur laisse entendre qu’écrire c’est témoigner, alors que raconter c’est
résister, donne à voir plus fort que la vie…» Alain Veinstein / France Culture

« Dans une atmosphère surréaliste défile une formidable galerie de portraits,
témoins loufoque d’un passé qui se dérobe… Le roman de L.-S. Ulysse soulève aussi de
manière singulière le problème de l’identité, en partant du désir et de la mémoire.
» Sean Jean Rose / Numéro

«L.-S. Ulysse s’invente un style nouveau, une écriture très différente de ce qu’il
avait écrit à ses débuts comme « Soleil sale » ou « La mission des flammes », des
romans sombres à l’écriture rugueuse et violente.» Stéphane Berthomet / Le Magazine
des livres

Contact presse :
[popa.panama@laposte.net]mail:Le livre raconte l’histoire de Metzler Popa, célèbre
peintre devenu amnésique, qui ne reconnaît plus son œuvre et ne sait plus comment la
prolonger... Plus qu’un texte surréaliste, à la croisée des genres, entre le «
réalisme merveilleux » et l’écriture d’un Brautigan, d’une réflexion sur la
création, il s’agit d’un texte sur la mémoire, la transmission, et la perte. Dans le
prolongement, un blog – htttp://popablog.blogspot.com - s’est créé autour de
l’univers de ce roman si particulier.

Rappel presse (extraits):

«La Fondation Popa ne manque ni d'élégance, ni de qualités. Si son style extrêmement
pur évoque étonnement les grands de la ligne claire (Hergé, Edgar P. Jacob, Yves
Chaland et Ted Benoît), le roman emprunte aussi au charme suranné des Perec, Raymond
Roussel ou Kafka, tout en débordant parfois vers les excentricités contemporaines
d'un Will Self. Au fil des pages on croise Buddy Holly, Yma Sumac ou Madame
Pompidou, sur fond de Devo et de Jonathan Richman… » Maxence Grugier /
Mille-Feuilles

«A découvrir absolument, tant il dénote avec le paysage littéraire francophone
d’aujourd’hui. »
Christophe Greuet / Culture-Café

« Par petites touches impressionnistes, chapitre après chapitre, La Fondation Popa
distille son intrigue, ses anecdotes et ses coups de folie… Une évocation
surréaliste, un rien cruel du monde de l'art doublé d'une réflexion sur la création.
» Olivier Delcroix / Le Figaro

«La Fondation Popa, de son style modeste qui confine à la virtuosité, est surtout
une redoutable plongée dans les affres de la création : sa fragilité, les mystères
de sa naissance, de sa transmission. C’est enfin un hommage à ce qui rend l’homme
humain et digne. » Jacques Lindecker / L'Alsace

«Est sorti il y a quelques semaines un O.L.N.I., un Objet Littéraire Non Identifié,
un roman qui s'appelle La Fondation Popa…» François Castaing / France Musique

«L’auteur laisse entendre qu’écrire c’est témoigner, alors que raconter c’est
résister, donne à voir plus fort que la vie…» Alain Veinstein / France Culture

« Dans une atmosphère surréaliste défile une formidable galerie de portraits,
témoins loufoque d’un passé qui se dérobe… Le roman de L.-S. Ulysse soulève aussi de
manière singulière le problème de l’identité, en partant du désir et de la mémoire.
» Sean Jean Rose / Numéro

«L.-S. Ulysse s’invente un style nouveau, une écriture très différente de ce qu’il
avait écrit à ses débuts comme « Soleil sale » ou « La mission des flammes », des
romans sombres à l’écriture rugueuse et violente.» Stéphane Berthomet / Le Magazine
des livres

Contact presse :
popa.panama@laposte.net


Lu 856 fois



Dans la même rubrique :