"Il s'agit des pires inondations depuis une décennie", a averti mercredi Terje Lysholm de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR).
Les informations en provenance de l'un des pays les plus secrets de la planète arrivent au compte-gouttes et le bilan de "centaines de morts ou de disparus" avancé par l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA n'avait pu être confirmé mercredi de source indépendante.
Selon les calculs des équipes de la FICR, au moins 14.000 maisons ont été détruites dans deux des six provinces inondées: Hamgyong Sud, sur la côte est, et Kangwon, près de la frontière sud-coréenne.
De nombreux bâtiments publics ont également été détruits ou abîmés tandis que quelque 100.000 hectares de cultures ont été submergés, a indiqué ce responsable joint à Pyongyang par téléphone.
Un peu plus tôt, un responsable du Programme alimentaire mondiale (PAM) de l'ONU avait estimé à 300.000 le nombre de personnes potentiellement affectées par les intempéries.
"Il s'agit d'une crise importante", a souligné Paul Risley, le porte-parole régional du PAM basé à Bangkok. Il a également précisé que des responsables de l'ONU, avaient pu visiter mardi une province située au nord de la capitale Pyongyang.
"On a relevé des signes d'importants dégâts et plusieurs villages ont été dévastés; le besoin d'aide alimentaire d'urgence, et probablement à plus long terme, est évident", a dit M. Risley.
"Les cultures ont été rayées de la carte. La principale inquiétude est de pouvoir commencer la distribution de l'aide alimentaire et ensuite prendre la mesure des pertes agricoles", a-t-il ajouté.
Un haut fonctionnaire du ministère nord-coréen de l'Agriculture, Ri Jae-Hyon, a affirmé mercredi dans un communiqué que les pluies avaient déjà anéanti 11% des récoltes de riz et de maïs. "Ces pluies diluviennes sans précédent ... compromettent les perspectives de la production agricole", indique le texte diffusé par KCNA.
Les informations en provenance de l'un des pays les plus secrets de la planète arrivent au compte-gouttes et le bilan de "centaines de morts ou de disparus" avancé par l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA n'avait pu être confirmé mercredi de source indépendante.
Selon les calculs des équipes de la FICR, au moins 14.000 maisons ont été détruites dans deux des six provinces inondées: Hamgyong Sud, sur la côte est, et Kangwon, près de la frontière sud-coréenne.
De nombreux bâtiments publics ont également été détruits ou abîmés tandis que quelque 100.000 hectares de cultures ont été submergés, a indiqué ce responsable joint à Pyongyang par téléphone.
Un peu plus tôt, un responsable du Programme alimentaire mondiale (PAM) de l'ONU avait estimé à 300.000 le nombre de personnes potentiellement affectées par les intempéries.
"Il s'agit d'une crise importante", a souligné Paul Risley, le porte-parole régional du PAM basé à Bangkok. Il a également précisé que des responsables de l'ONU, avaient pu visiter mardi une province située au nord de la capitale Pyongyang.
"On a relevé des signes d'importants dégâts et plusieurs villages ont été dévastés; le besoin d'aide alimentaire d'urgence, et probablement à plus long terme, est évident", a dit M. Risley.
"Les cultures ont été rayées de la carte. La principale inquiétude est de pouvoir commencer la distribution de l'aide alimentaire et ensuite prendre la mesure des pertes agricoles", a-t-il ajouté.
Un haut fonctionnaire du ministère nord-coréen de l'Agriculture, Ri Jae-Hyon, a affirmé mercredi dans un communiqué que les pluies avaient déjà anéanti 11% des récoltes de riz et de maïs. "Ces pluies diluviennes sans précédent ... compromettent les perspectives de la production agricole", indique le texte diffusé par KCNA.