L'indice vedette a lâché 106,05 points à 2.569,63 points, dans un volume d'échanges de 3,158 milliards d'euros.
Londres a cédé 3,18%, Francfort 5,02% et l'Eurostoxx 50 4,17%.
Les investisseurs ont procédé à des prises de bénéfices, au lendemain d'une nette hausse du marché où le CAC avait bondi de 4,74% à 2.675,68 points. La dégringolade de Wall Street a ensuite accentué la tendance en fin de journée.
La Bourse de New York était notamment minée par les craintes entourant le secteur automobile alors que le constructeur américain General Motors a reconnu ne pas écarter la possibilité d'un dépôt de bilan.
A Paris, Peugeot a lâché 7,78% à 13,09 euros, Michelin 9,41% à 23,35 euros et Renault 6,45% à 10,59 euros.
"Les commentaires de Jean-Claude Trichet (le président de la Banque centrale européenne) ont également fait baisser le marché", a expliqué un vendeur d'actions parisien.
La BCE a reconnu la gravité de la récession en zone euro en ramenant son taux directeur au niveau historiquement bas de 1,5%. M. Trichet n'a d'ailleurs pas exclu une nouvelle baisse de taux.
La BCE a également révisé en forte baisse ses prévisions économiques et prévoit désormais un recul de 2,7% du Produit intérieur brut en moyenne en 2009 dans la zone euro.
"Seule bonne nouvelle", selon le vendeur d'actions, la BCE étudie de possibles mesures d'assouplissement quantitatif pour dégripper la machine du crédit.
Parmi les valeurs bancaires, Dexia a terminé en déroute totale (-21,02% à 1,21 euro). Natixis a perdu 10,85% à 0,84 euros, Société Générale 6,10% à 21,24 euros, BNP Paribas 7,08% à 22,98 euros et Crédit Agricole 5,29% à 6,62 euros.
Total (-5,47% à 35,57 euros), première capitalisation du CAC 40, a aussi poussé la cote vers le bas.
Source: Yahoo News
Londres a cédé 3,18%, Francfort 5,02% et l'Eurostoxx 50 4,17%.
Les investisseurs ont procédé à des prises de bénéfices, au lendemain d'une nette hausse du marché où le CAC avait bondi de 4,74% à 2.675,68 points. La dégringolade de Wall Street a ensuite accentué la tendance en fin de journée.
La Bourse de New York était notamment minée par les craintes entourant le secteur automobile alors que le constructeur américain General Motors a reconnu ne pas écarter la possibilité d'un dépôt de bilan.
A Paris, Peugeot a lâché 7,78% à 13,09 euros, Michelin 9,41% à 23,35 euros et Renault 6,45% à 10,59 euros.
"Les commentaires de Jean-Claude Trichet (le président de la Banque centrale européenne) ont également fait baisser le marché", a expliqué un vendeur d'actions parisien.
La BCE a reconnu la gravité de la récession en zone euro en ramenant son taux directeur au niveau historiquement bas de 1,5%. M. Trichet n'a d'ailleurs pas exclu une nouvelle baisse de taux.
La BCE a également révisé en forte baisse ses prévisions économiques et prévoit désormais un recul de 2,7% du Produit intérieur brut en moyenne en 2009 dans la zone euro.
"Seule bonne nouvelle", selon le vendeur d'actions, la BCE étudie de possibles mesures d'assouplissement quantitatif pour dégripper la machine du crédit.
Parmi les valeurs bancaires, Dexia a terminé en déroute totale (-21,02% à 1,21 euro). Natixis a perdu 10,85% à 0,84 euros, Société Générale 6,10% à 21,24 euros, BNP Paribas 7,08% à 22,98 euros et Crédit Agricole 5,29% à 6,62 euros.
Total (-5,47% à 35,57 euros), première capitalisation du CAC 40, a aussi poussé la cote vers le bas.
Source: Yahoo News