Baisse des taux : une politique monétaire qui se poursuit
Le 16 décembre 2024, Christine Lagarde, présidente de la BCE, a indiqué que de nouvelles baisses de taux étaient envisagées pour 2025. Cette décision serait le fruit d’une désinflation avancée, tout en tenant compte des risques accrus pesant sur la croissance économique. Elle a précisé que, selon les projections de la BCE, l’inflation devrait se stabiliser autour de 2,1% en 2025 et avoisiner les 1,9% en 2026.
La BCE a poursuivi son assouplissement monétaire en abaissant ses taux directeurs. Cette stratégie vise à stimuler la croissance tout en veillant à ce qu’elle ne relance pas l’inflation. Lors de la conférence de presse qui a suivi cette annonce, Christine Lagarde a souligné que la politique monétaire restait « restrictive », mais qu’elle pourrait se desserrer si les données économiques le justifiaient. Elle a également précisé que la BCE se rapprochait de son objectif à moyen terme, avec un taux neutre estimé entre 1,75% et 2,5%, ce qui pourrait même conduire à des taux d'intérêt réels négatifs en 2025.
La BCE a poursuivi son assouplissement monétaire en abaissant ses taux directeurs. Cette stratégie vise à stimuler la croissance tout en veillant à ce qu’elle ne relance pas l’inflation. Lors de la conférence de presse qui a suivi cette annonce, Christine Lagarde a souligné que la politique monétaire restait « restrictive », mais qu’elle pourrait se desserrer si les données économiques le justifiaient. Elle a également précisé que la BCE se rapprochait de son objectif à moyen terme, avec un taux neutre estimé entre 1,75% et 2,5%, ce qui pourrait même conduire à des taux d'intérêt réels négatifs en 2025.
Alors que l’Allemagne et d’autres pays européens rencontrent des difficultés à maintenir des politiques budgétaires équilibrées, la BCE reste un soutien majeur pour la zone euro. L'institution a réduit ses taux à quatre reprises en 2024 et prévoit d’autres baisses au cours de l’année prochaine. Ces mesures visent à rendre les crédits plus accessibles, en particulier pour les entreprises et les particuliers, dans un contexte marqué par des perspectives de croissance faibles et une incertitude accrue en raison des tensions géopolitiques.
Les marchés financiers anticipent également de nouvelles baisses des taux en 2025, avec un objectif de taux de référence autour de 2%, ce qui correspond au taux « neutre », selon François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France. Ce taux ne favorise ni ne freine l'économie, ce qui permettrait à la BCE de mieux ajuster sa politique monétaire en fonction des besoins réels de l’économie.
Les prévisions actuelles suggèrent une réduction des taux d’environ 0,25 point lors des six réunions de la BCE en 2025, ce qui pourrait faire chuter le taux de référence de 3% à 1,5%. Toutefois, cette tendance est soumise à l’évolution de la situation économique et des projections d’inflation, dont la confirmation pourrait renforcer cette stratégie.
Ainsi, la BCE continue de jouer un rôle clé dans la stabilisation économique de la zone euro, tout en ajustant sa politique monétaire pour répondre aux défis contemporains.
Les marchés financiers anticipent également de nouvelles baisses des taux en 2025, avec un objectif de taux de référence autour de 2%, ce qui correspond au taux « neutre », selon François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France. Ce taux ne favorise ni ne freine l'économie, ce qui permettrait à la BCE de mieux ajuster sa politique monétaire en fonction des besoins réels de l’économie.
Les prévisions actuelles suggèrent une réduction des taux d’environ 0,25 point lors des six réunions de la BCE en 2025, ce qui pourrait faire chuter le taux de référence de 3% à 1,5%. Toutefois, cette tendance est soumise à l’évolution de la situation économique et des projections d’inflation, dont la confirmation pourrait renforcer cette stratégie.
Ainsi, la BCE continue de jouer un rôle clé dans la stabilisation économique de la zone euro, tout en ajustant sa politique monétaire pour répondre aux défis contemporains.