"Attendons que l'Amisom s'en aille et, ensuite, nous pourrons discuter avec les responsables gouvernementaux, nos amis qui font erreur", a-t-il déclaré, s'adressant à plusieurs centaines de ses partisans à Mogadiscio.
"L'Amisom n'est pas une mission de maintien de la paix (...), ce sont des fléaux pour la Somalie. Aucun accord de paix n'a encore été conclu en Somalie. Il faut donc être patient. Il nous reste peu de temps pour lutter et atteindre nos objectifs islamiques", a ajouté Aweys.
L'Amisom, qui compte 4.300 hommes déployés dans la capitale, y est quotidiennement prise pour cible et les observateurs s'attendent à une multiplication des agressions dont les "casques verts" sont victimes.
Chassé lors de l'offensive des troupes éthiopiennes, fin 2006, Aweys, chef de file de l'Alliance pour la relibération de la Somalie, a regagné son pays jeudi. Avant l'intervention décisive d'Addis-Abeba, il partageait avec le cheikh Sharif Ahmed, actuel chef de l'Etat, la tête des Tribunaux islamiques qui s'étaient emparés de Mogadiscio et du sud de la Somalie.
Source: Yahoo News
"L'Amisom n'est pas une mission de maintien de la paix (...), ce sont des fléaux pour la Somalie. Aucun accord de paix n'a encore été conclu en Somalie. Il faut donc être patient. Il nous reste peu de temps pour lutter et atteindre nos objectifs islamiques", a ajouté Aweys.
L'Amisom, qui compte 4.300 hommes déployés dans la capitale, y est quotidiennement prise pour cible et les observateurs s'attendent à une multiplication des agressions dont les "casques verts" sont victimes.
Chassé lors de l'offensive des troupes éthiopiennes, fin 2006, Aweys, chef de file de l'Alliance pour la relibération de la Somalie, a regagné son pays jeudi. Avant l'intervention décisive d'Addis-Abeba, il partageait avec le cheikh Sharif Ahmed, actuel chef de l'Etat, la tête des Tribunaux islamiques qui s'étaient emparés de Mogadiscio et du sud de la Somalie.
Source: Yahoo News