Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée: «c'était pauvre, monsieur le président ! Tout ce que vous avez annoncé ne concernera qu'une minorité de salariés ou sera payé on ne sait trop comment concernant le rachat des RTT. La majorité de la France qui peine continuera de peiner. Je crains que vous ne récoltiez l'amertume, d'autant que vous prévoyez maintenant de vous attaquer aux garanties du travail».
François Bayrou, Mouvement démocrate (MoDem) : «c'était pas mal. Un peu répétitif parfois : on commence à avoir l'impression d'avoir cent fois entendu les mêmes phrases. Sur le fond, sur la question du pouvoir d'achat, je trouve ses deux ou trois décisions principales convenables».
François Hollande, premier secrétaire du PS: «on attendait des annonces et on a eu des répétitions, des redites. On a eu de nouveau le thème du travailler plus pour gagner plus. Ce soir, ceux qui pouvaient espérer un euro de plus n'auront eu rien de concret et rien d'immédiat. S'il n'y a plus de durée légale [du temps de travail], on ne sera plus payé en heures supplémentaires mais au tarif des heures normales. Ce ne sera plus une progression du pouvoir d'achat, ce sera une diminution du pouvoir d'achat, à même volume d'heures travaillées»
CFTC : «on reste sur notre faim, c'est bien de mettre en place un indice des prix mais quels moyens se donne-t-on pour maîtriser les dépenses contraintes? Sur le logement, les Français ont par exemple subi une forte inflation ces dernières années».
Arlette Laguillier et Olivier Besancenot ont fait également des commentaires.
François Bayrou, Mouvement démocrate (MoDem) : «c'était pas mal. Un peu répétitif parfois : on commence à avoir l'impression d'avoir cent fois entendu les mêmes phrases. Sur le fond, sur la question du pouvoir d'achat, je trouve ses deux ou trois décisions principales convenables».
François Hollande, premier secrétaire du PS: «on attendait des annonces et on a eu des répétitions, des redites. On a eu de nouveau le thème du travailler plus pour gagner plus. Ce soir, ceux qui pouvaient espérer un euro de plus n'auront eu rien de concret et rien d'immédiat. S'il n'y a plus de durée légale [du temps de travail], on ne sera plus payé en heures supplémentaires mais au tarif des heures normales. Ce ne sera plus une progression du pouvoir d'achat, ce sera une diminution du pouvoir d'achat, à même volume d'heures travaillées»
CFTC : «on reste sur notre faim, c'est bien de mettre en place un indice des prix mais quels moyens se donne-t-on pour maîtriser les dépenses contraintes? Sur le logement, les Français ont par exemple subi une forte inflation ces dernières années».
Arlette Laguillier et Olivier Besancenot ont fait également des commentaires.