Selon son président de club Max Guazzini, le joueur du Stade Français souffrirait de "graves troubles psychologiques" et devrait rester au minimum "une quinzaine de jours" en observation. Il a par ailleurs dénoncé "l'acharnement de la presse contre un garçon de vingt ans (...) complètement anéanti" et qu'il "faut laisser tranquille". Lire la suite l'article
Bastareaud, qui s'était déclaré victime d'une agression en pleine rue dans la nuit du 20 au 21 juin, à Wellington après la défaite (10-14) face aux Néo-Zélandais, a reconnu jeudi dernier avoir menti. Il a alors affirmé s'être blessé seul dans sa chambre d'hôtel. Choqué, le visage tuméfié, il avait regagné la France le 22 juin.
"Je suis rentré à l'hôtel après avoir trop bu. Je suis tombé sur ma table de nuit et je me suis ouvert la pommette. J'ai eu honte. J'ai paniqué...", a-t-il confessé dans un communiqué. En Nouvelle-Zélande, qui organise la Coupe du monde en 2011, l'affaire fait grand bruit. Le maire de Wellington et la Fédération de rugby ont chacun dénoncé le mensonge.
En France, la Commission de discipline de la Fédération française de rugby a été saisie. Aucune date n'a été cependant fixée pour l'examen de l'affaire ; le renouvellement de la commission doit s'effectuer lors de l'assemblée générale de la fédération, qui a lieu de jeudi à samedi. L'image du XV de France ayant été écornée, Bastareaud pourrait écoper d'une lourde sanction et de plusieurs semaines, voire mois, de suspension. En attendant, le Stade Français s'appuie sur les anciens du club, comme le talonneur Mathieu Blin et l'entraîneur Christophe Dominici, qui a connu un épisode dépressif en 2000, pour veiller sur lui.... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
Source: Le Point via Yahoo News
Bastareaud, qui s'était déclaré victime d'une agression en pleine rue dans la nuit du 20 au 21 juin, à Wellington après la défaite (10-14) face aux Néo-Zélandais, a reconnu jeudi dernier avoir menti. Il a alors affirmé s'être blessé seul dans sa chambre d'hôtel. Choqué, le visage tuméfié, il avait regagné la France le 22 juin.
"Je suis rentré à l'hôtel après avoir trop bu. Je suis tombé sur ma table de nuit et je me suis ouvert la pommette. J'ai eu honte. J'ai paniqué...", a-t-il confessé dans un communiqué. En Nouvelle-Zélande, qui organise la Coupe du monde en 2011, l'affaire fait grand bruit. Le maire de Wellington et la Fédération de rugby ont chacun dénoncé le mensonge.
En France, la Commission de discipline de la Fédération française de rugby a été saisie. Aucune date n'a été cependant fixée pour l'examen de l'affaire ; le renouvellement de la commission doit s'effectuer lors de l'assemblée générale de la fédération, qui a lieu de jeudi à samedi. L'image du XV de France ayant été écornée, Bastareaud pourrait écoper d'une lourde sanction et de plusieurs semaines, voire mois, de suspension. En attendant, le Stade Français s'appuie sur les anciens du club, comme le talonneur Mathieu Blin et l'entraîneur Christophe Dominici, qui a connu un épisode dépressif en 2000, pour veiller sur lui.... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
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