Dans un entretien exclusif accordé récemment au journaliste indépendant Alain Chabod, Fuentès fait état d'un appel téléphonique parvenu la veille du raid à un officier ivoirien et émanant au dire de ce dernier de l'Elysée. Selon Fuentès, l'échange avec Paris aurait porté sur une désignation concertée de cibles, notamment un gymnase voisin du lycée Descartes, où devaient se réunir plusieurs cadres de la rébellion nordiste des Forces nouvelles.
Si l'on en croit ce scénario d'un pacte secret entre Abidjan et Paris, jugé "crédible" par une source judiciaire familière du dossier, c'est donc par erreur, en pensant viser les rebelles, que les deux appareils ivoiriens auraient frappé la base française.
Source:L'expresse.fr via Yahoo
Afrique et Moyen-Orient
29/03/2010 19:17
L'hypothèse de la bavure
Florence Michon, juge d'instruction du tribunal aux armées de Paris, entendra, le 31 mars, le mercenaire français Jean-Jacques Fuentès, instructeur des forces aériennes de Côte d'Ivoire à l'époque du bombardement du camp français de Bouaké.
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