Des partisans de l'ancien régime malien se soulèvent à Bamako
La garde présidentielle fidèle au président déchu Amadou Toumani Touré a affronté lundi les forces de la junte militaire au pouvoir depuis le coup d'Etat du 22 mars au Mali pour tenter de s'emparer d'une partie de Bamako, ont rapporté des témoins et un responsable de la junte. Des fusillades nourries ont éclaté à proximité d'un pont stratégique sur le fleuve Niger et aux abords du bâtiment de la radio-télévision publique, ont affirmé des témoins. Par la suite, les tirs ont diminué d'intensité près du pont où l'on a aperçu des "bérets rouges" de la GP quitter le secteur. "Ils ont quitté le pont après des échanges de tirs et ont pris actuellement la direction de l'aéroport", a indiqué un témoin. D'après un autre témoignage, des tirs se poursuivaient près de la radio-télévision d'Etat, qui continue toutefois à émettre. Un porte-parole de la junte a expliqué qu'il s'agissait d'une tentative de contre-coup d'Etat de la part de militaires fidèles au président renversé et contraint à l'exil. "Ce sont des éléments de la GP de l'ancien régime qui cherchent à renverser le cours de la situation", a déclaré à Reuters Bacary Mariko. "Nous avons la situation sous contrôle". Des officiers subalternes accusant le régime en place de faire preuve d'incurie et de laxisme face à la progression de la rébellion targuie et islamiste dans la moitié nord du Mali ont renversé le 22 mars le président Touré.(fr.reuters.com) La situation malienne échappe visiblement à tout contrôle.
Le bilan du naufrage du ferry indien s'alourdit
Une centaine de personnes ont péri lundi dans le naufrage d'un ferry surchargé sur le fleuve Brahmapoutre, dans l'Etat d'Assam, dans le nord-est de l'Inde. Une centaine de passagers, sur les 300 que transportait l'embarcation, ont pu être récupérés vivants et une dernière centaine est portée manquante, a indiqué la police. La catastrophe a eu lieu en pleine nuit et par gros temps. Des passagers avaient pris place sur le toit du navire, transportant essentiellement des paysans et leurs familles, lorsqu'il a chaviré dans les eaux, larges d'un km à cet endroit, du fleuve. D'après des témoins, le ferry était vétuste et s'est brisé en deux après le naufrage dans les eaux en crue du Brahmapoutre, l'un des plus grands fleuves d'Asie.(fr.reuters.com) Pourquoi laissez naviguer un tel navire?
Carte cannabis aux Pays-Bas: «Quand on allait à Maastricht, c'était pas pour le traité!»
Avec la carte cannabis appliquée officiellement à partir de mardi dans trois provinces du sud des Pays-Bas, puis dans tout le royaume dès 2013, les célèbres coffee shops néerlandais vont devenir de l'histoire ancienne pour les étrangers qui ne pourront plus s'y fournir en drogue douce. D'anciens clients français racontent leur expérience à 20 Minutes. Tous n'y allaient «que pour ça», le temps d'un week-end, voire d'une seule nuit, entre amis, souvent masculins, à faire la tournée des coffee shops de Maastricht ou d'Amsterdam selon les besoins. «Le commerce d'approvisionnement, c'était Maastricht, parce que c'est proche de la frontière, on n'y allait pas pour le traité!», raconte Vassili, 28 ans, autrefois prêt à prendre la route depuis le Sud de la France rien que pour «faire le stock» de cannabis. «Faire la fête, fumer librement et visiter Amsterdam». Si Amsterdam permet un autre tourisme que celui-ci, cela reste malgré tout «une activité typique et incontournable» de la ville, selon Nicolas, 27 ans. Mais désormais vouée à disparaître pour les étrangers d'où une certaine pointe de nostalgie. «C'était pas mal comme époque, on passait toute la journée à fumer dans le coffee shop puis on se baladait dans la rue, c'était assez extraordinaire», se rappelle Vassili. Ewen, 39 ans, se remémore lui aussi des week-ends à «faire la fête, fumer librement et visiter Amsterdam sous l'effet du cannabis malgré le regard réprobateur des Hollandais.»(20minutes.fr) Faire changer d'activité à une ville toute entière n'est pas chose aisé.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
La garde présidentielle fidèle au président déchu Amadou Toumani Touré a affronté lundi les forces de la junte militaire au pouvoir depuis le coup d'Etat du 22 mars au Mali pour tenter de s'emparer d'une partie de Bamako, ont rapporté des témoins et un responsable de la junte. Des fusillades nourries ont éclaté à proximité d'un pont stratégique sur le fleuve Niger et aux abords du bâtiment de la radio-télévision publique, ont affirmé des témoins. Par la suite, les tirs ont diminué d'intensité près du pont où l'on a aperçu des "bérets rouges" de la GP quitter le secteur. "Ils ont quitté le pont après des échanges de tirs et ont pris actuellement la direction de l'aéroport", a indiqué un témoin. D'après un autre témoignage, des tirs se poursuivaient près de la radio-télévision d'Etat, qui continue toutefois à émettre. Un porte-parole de la junte a expliqué qu'il s'agissait d'une tentative de contre-coup d'Etat de la part de militaires fidèles au président renversé et contraint à l'exil. "Ce sont des éléments de la GP de l'ancien régime qui cherchent à renverser le cours de la situation", a déclaré à Reuters Bacary Mariko. "Nous avons la situation sous contrôle". Des officiers subalternes accusant le régime en place de faire preuve d'incurie et de laxisme face à la progression de la rébellion targuie et islamiste dans la moitié nord du Mali ont renversé le 22 mars le président Touré.(fr.reuters.com) La situation malienne échappe visiblement à tout contrôle.
Le bilan du naufrage du ferry indien s'alourdit
Une centaine de personnes ont péri lundi dans le naufrage d'un ferry surchargé sur le fleuve Brahmapoutre, dans l'Etat d'Assam, dans le nord-est de l'Inde. Une centaine de passagers, sur les 300 que transportait l'embarcation, ont pu être récupérés vivants et une dernière centaine est portée manquante, a indiqué la police. La catastrophe a eu lieu en pleine nuit et par gros temps. Des passagers avaient pris place sur le toit du navire, transportant essentiellement des paysans et leurs familles, lorsqu'il a chaviré dans les eaux, larges d'un km à cet endroit, du fleuve. D'après des témoins, le ferry était vétuste et s'est brisé en deux après le naufrage dans les eaux en crue du Brahmapoutre, l'un des plus grands fleuves d'Asie.(fr.reuters.com) Pourquoi laissez naviguer un tel navire?
Carte cannabis aux Pays-Bas: «Quand on allait à Maastricht, c'était pas pour le traité!»
Avec la carte cannabis appliquée officiellement à partir de mardi dans trois provinces du sud des Pays-Bas, puis dans tout le royaume dès 2013, les célèbres coffee shops néerlandais vont devenir de l'histoire ancienne pour les étrangers qui ne pourront plus s'y fournir en drogue douce. D'anciens clients français racontent leur expérience à 20 Minutes. Tous n'y allaient «que pour ça», le temps d'un week-end, voire d'une seule nuit, entre amis, souvent masculins, à faire la tournée des coffee shops de Maastricht ou d'Amsterdam selon les besoins. «Le commerce d'approvisionnement, c'était Maastricht, parce que c'est proche de la frontière, on n'y allait pas pour le traité!», raconte Vassili, 28 ans, autrefois prêt à prendre la route depuis le Sud de la France rien que pour «faire le stock» de cannabis. «Faire la fête, fumer librement et visiter Amsterdam». Si Amsterdam permet un autre tourisme que celui-ci, cela reste malgré tout «une activité typique et incontournable» de la ville, selon Nicolas, 27 ans. Mais désormais vouée à disparaître pour les étrangers d'où une certaine pointe de nostalgie. «C'était pas mal comme époque, on passait toute la journée à fumer dans le coffee shop puis on se baladait dans la rue, c'était assez extraordinaire», se rappelle Vassili. Ewen, 39 ans, se remémore lui aussi des week-ends à «faire la fête, fumer librement et visiter Amsterdam sous l'effet du cannabis malgré le regard réprobateur des Hollandais.»(20minutes.fr) Faire changer d'activité à une ville toute entière n'est pas chose aisé.
Source: Yahoo actualités
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