La devise américaine est sous pression à cause des craintes de récession aux Etats-Unis et parce que le marché s'attend à ce que la Réserve fédérale américaine abaisse à nouveau son principal taux d'intérêt (actuellement à 3%).
Mardi, l'annonce d'une action coordonnée des grandes banques centrales, dont la Fed, avait permis au dollar de regagner un peu de terrain, mais la tendance s'est inversée mercredi, les investisseurs estimant que cela ne suffira pas à résoudre complètement la crise du crédit.
L'annonce par le grand fonds américain Carlyle Capital Corporation (CCC) de sa liquidation a pesé sur le billet vert, les investisseurs redoutant que d'autres institutions financières soient emportées dans la tourmente tandis que les indicateurs économiques continuent de s'afficher dans le rouge.
"L'histoire de la faiblesse du dollar va continuer de s'écrire aujourd'hui, notamment avec les chiffres des ventes de détail, attendus en baisse pour le mois de février" a commenté Audrey Childe-Freeman de la CIBC.
"Les investisseurs sont de plus en plus inquiets par le cocktail douteux d'indicateurs en berne, de craintes persistantes d'inflation, de risques de récession et une plus grande dépendance à des interventions de politique monétaire non conventionnelles", ont abondé les économistes de la Commerzbank.
yahoo.com
Mardi, l'annonce d'une action coordonnée des grandes banques centrales, dont la Fed, avait permis au dollar de regagner un peu de terrain, mais la tendance s'est inversée mercredi, les investisseurs estimant que cela ne suffira pas à résoudre complètement la crise du crédit.
L'annonce par le grand fonds américain Carlyle Capital Corporation (CCC) de sa liquidation a pesé sur le billet vert, les investisseurs redoutant que d'autres institutions financières soient emportées dans la tourmente tandis que les indicateurs économiques continuent de s'afficher dans le rouge.
"L'histoire de la faiblesse du dollar va continuer de s'écrire aujourd'hui, notamment avec les chiffres des ventes de détail, attendus en baisse pour le mois de février" a commenté Audrey Childe-Freeman de la CIBC.
"Les investisseurs sont de plus en plus inquiets par le cocktail douteux d'indicateurs en berne, de craintes persistantes d'inflation, de risques de récession et une plus grande dépendance à des interventions de politique monétaire non conventionnelles", ont abondé les économistes de la Commerzbank.
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