Le commandant de l'armée malgache, Charles Andrianasoavina, a précisé que ce responsable-là, Ralitera Andrianandraina, ainsi que trois de ses collègues appréhendés au cours de l'opération, étaient soupçonnés d'avoir cherché à déstabiliser le gouvernement de transition du nouveau président Andry Rajoelina, et d'avoir ouvert le feu sur des manifestants dans la capitale.
"Nous avons reçu des renseignements selon lesquels c'est lui (Ralitera Andrianandraina) qui était à l'origine des tirs de grenades assourdissantes et des coups de feu visant des civils et les forces de sécurité, ces derniers jours à Antananarivo", a affirmé Andrianasoavina devant la presse.
Des armes ont été retrouvées à l'intérieur du véhicule du chef de la sécurité de la Cour constitutionnelle, a-t-il ajouté. Selon un communiqué du gouvernement, sept fusils d'assaut, quatre pistolets et une grenade ont été découverts à l'intérieur même de la Cour constitutionnelle.
Les tensions sont remontées dans la capitale malgache ces derniers jours, les partisans du président déchu Marc Ravalomanana défiant l'interdiction de manifester et dénonçant la prise du contrôle du pouvoir, avec l'appui de l'armée, par Rajoelina et ses sympathisants.
Au moins cinq personnes ont été tuées la semaine dernière au cours d'affrontements dans les rues de la ville, laissant craindre un retour aux troubles qui ont fait 135 morts depuis le début de l'année dans le pays entre partisans des deux camps.
Source Yahoo News
"Nous avons reçu des renseignements selon lesquels c'est lui (Ralitera Andrianandraina) qui était à l'origine des tirs de grenades assourdissantes et des coups de feu visant des civils et les forces de sécurité, ces derniers jours à Antananarivo", a affirmé Andrianasoavina devant la presse.
Des armes ont été retrouvées à l'intérieur du véhicule du chef de la sécurité de la Cour constitutionnelle, a-t-il ajouté. Selon un communiqué du gouvernement, sept fusils d'assaut, quatre pistolets et une grenade ont été découverts à l'intérieur même de la Cour constitutionnelle.
Les tensions sont remontées dans la capitale malgache ces derniers jours, les partisans du président déchu Marc Ravalomanana défiant l'interdiction de manifester et dénonçant la prise du contrôle du pouvoir, avec l'appui de l'armée, par Rajoelina et ses sympathisants.
Au moins cinq personnes ont été tuées la semaine dernière au cours d'affrontements dans les rues de la ville, laissant craindre un retour aux troubles qui ont fait 135 morts depuis le début de l'année dans le pays entre partisans des deux camps.
Source Yahoo News