L'appel à la mobilisation lancé par trois syndicats de fonctionnaires semblait être faiblement suivi mardi, que ce soit dans les cortèges de la matinée dans plusieurs villes ou concernant les arrêts de travail.
En première ligne de la mobilisation contre la politique du gouvernement durant le mois de mai, les personnels de l'Education étaient cette fois-ci aux abonnés absents avec 4,49% de grévistes en moyenne générale, selon les chiffres diffusés à la mi-journée par le ministère. Le Syndicat national unitaire des instituteurs (SNUIpp, principal syndicat des maternelles et des écoles élémentaires) a reconnu une "participation réservée, voire timide".
Dans la rue, les premiers cortèges de la journée n'avaient pas non plus fait recette. A Marseille, l'un des gros bastions des mobilisations de fonctionnaires, la police ne comptabilisait à la mi-journée que 800 personnes pour battre le pavé, tandis que les organisateurs ne fournissaient aucun chiffre. A Nantes également, la manifestation syndicale n'avait mobilisé que 800 personnes, selon les chiffres de la police.
A Paris, les manifestants devaient se rassembler à partir de 13h30 au Carrefour des Gobelins avant de défiler dans l'après-midi jusqu'aux abords du métro Sèvres-Babylone.
Autre mouvement, à la mobilisation plus que mitigée, la grève à la SNCF contre les modalités de réforme du fret. Selon la direction, 6,5% des cheminots avaient suivi le mot d'ordre lancé par la CGT, Sud-Rail et FO avec des perturbations du trafic limitées. L'intersyndicale parle pour sa part d'un taux de 35% à 11h chez les conducteurs et de 25% à l'exploitation.
Selon la direction, le trafic était assuré mardi matin en banlieue parisienne (Transilien) à hauteur d'un train toutes les 15 à 30 minutes pour la plupart des liaisons. Le trafic était normal sur les lignes A et E du RER. "Nous sommes mêmes en mesure d'assurer quelques trains supplémentaires sur la ligne D du RER et sur la gare de l'Est", expliquait-on à la direction en fin de matinée.
Pour les grandes lignes, trois trains sur quatre circulaient pour les TGV Atlantique et Sud-Est et un sur deux pour les TGV de province à province. Aucun TGV ne circulait entre Strasbourg et Rennes ainsi qu'entre Strasbourg et Bordeaux.
Pour les Corail, un train sur trois était assuré pour les liaisons nationales, et un sur deux pour les Corail Intercités. Le trafic était normal pour les TGV Est Européen et Nord et pour les liaisons Eurostar, Thalys, Alleo (France-Allemagne) et Lyria (France-Suisse).
La direction devait diffuser dans l'après-midi un nouveau plan de transport pour la journée de mercredi, les trois syndicats ayant déposé des préavis de grève reconductible tout en soulignant qu'ils apprécieraient "en fonction du degré de mobilisation"
Source: news.yahoo.com
En première ligne de la mobilisation contre la politique du gouvernement durant le mois de mai, les personnels de l'Education étaient cette fois-ci aux abonnés absents avec 4,49% de grévistes en moyenne générale, selon les chiffres diffusés à la mi-journée par le ministère. Le Syndicat national unitaire des instituteurs (SNUIpp, principal syndicat des maternelles et des écoles élémentaires) a reconnu une "participation réservée, voire timide".
Dans la rue, les premiers cortèges de la journée n'avaient pas non plus fait recette. A Marseille, l'un des gros bastions des mobilisations de fonctionnaires, la police ne comptabilisait à la mi-journée que 800 personnes pour battre le pavé, tandis que les organisateurs ne fournissaient aucun chiffre. A Nantes également, la manifestation syndicale n'avait mobilisé que 800 personnes, selon les chiffres de la police.
A Paris, les manifestants devaient se rassembler à partir de 13h30 au Carrefour des Gobelins avant de défiler dans l'après-midi jusqu'aux abords du métro Sèvres-Babylone.
Autre mouvement, à la mobilisation plus que mitigée, la grève à la SNCF contre les modalités de réforme du fret. Selon la direction, 6,5% des cheminots avaient suivi le mot d'ordre lancé par la CGT, Sud-Rail et FO avec des perturbations du trafic limitées. L'intersyndicale parle pour sa part d'un taux de 35% à 11h chez les conducteurs et de 25% à l'exploitation.
Selon la direction, le trafic était assuré mardi matin en banlieue parisienne (Transilien) à hauteur d'un train toutes les 15 à 30 minutes pour la plupart des liaisons. Le trafic était normal sur les lignes A et E du RER. "Nous sommes mêmes en mesure d'assurer quelques trains supplémentaires sur la ligne D du RER et sur la gare de l'Est", expliquait-on à la direction en fin de matinée.
Pour les grandes lignes, trois trains sur quatre circulaient pour les TGV Atlantique et Sud-Est et un sur deux pour les TGV de province à province. Aucun TGV ne circulait entre Strasbourg et Rennes ainsi qu'entre Strasbourg et Bordeaux.
Pour les Corail, un train sur trois était assuré pour les liaisons nationales, et un sur deux pour les Corail Intercités. Le trafic était normal pour les TGV Est Européen et Nord et pour les liaisons Eurostar, Thalys, Alleo (France-Allemagne) et Lyria (France-Suisse).
La direction devait diffuser dans l'après-midi un nouveau plan de transport pour la journée de mercredi, les trois syndicats ayant déposé des préavis de grève reconductible tout en soulignant qu'ils apprécieraient "en fonction du degré de mobilisation"
Source: news.yahoo.com