La revendication tardive des attentats par Daech (le lendemain en fin de matinée, soit douze heures plus tard alors qu'une revendication immédiate aurait eu un impact plus fort) permet de supposer que l'organisation terroriste a hésité à endosser des actes dont les conséquences n'étaient pas avantageuses.
Tuer au hasard et sans distinction a rendu les actions de Daech imprévisibles et ôté sa lisibilité au projet de califat. Les marchés, notamment du pétrole et des armes, ne peuvent se satisfaire d'un partenaire si peu fiable.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté vendredi une résolution appelant les États qui le peuvent à déployer tous les moyens nécessaires contre Daech. Le Conseil de sécurité évoque les attentats commis par les terroristes à Sousse, à Ankara, au-dessus du Sinaï, à Beyrouth, à Paris et tous les autres pour motiver sa décision.
Cette résolution, proposée par la France, précise le communiqué, a été adoptée à l'unanimité des 15 membres. Les membres permanents du Conseil de sécurité sont la Chine, les États-Unis, la Fédération de Russie, la France et le Royaume-Uni. Ses membres élus sont actuellement l'Angola, le Chili, l'Espagne, la Jordanie, la Lituanie, la Malaisie, le Nigéria, la Nouvelle-Zélande, le Tchad et le Venezuela.
L'ONU a ainsi donné carte blanche aux États qui sont autorisés à prendre « toutes les mesures nécessaires (…) sur le territoire se trouvant sous le contrôle de l'EIIL, également connu sous le nom de Daech, en Syrie et en Iraq, (…) pour redoubler d'efforts et coordonner leur action en vue de prévenir et de mettre un terme aux actes de terrorisme commis en particulier » par ce groupe, « ainsi que par le Front el-Nosra et tous les autres individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda ». Il les invite également à « éliminer le sanctuaire qu'ils ont créé sur une grande partie des territoires de l'Iraq et de la Syrie ». Il engage les États membres à « intensifier leurs efforts pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui se rendent en Iraq et en Syrie et empêcher et éliminer le financement du terrorisme ».
Source : dépêche du service d'information de l'ONU
Tuer au hasard et sans distinction a rendu les actions de Daech imprévisibles et ôté sa lisibilité au projet de califat. Les marchés, notamment du pétrole et des armes, ne peuvent se satisfaire d'un partenaire si peu fiable.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté vendredi une résolution appelant les États qui le peuvent à déployer tous les moyens nécessaires contre Daech. Le Conseil de sécurité évoque les attentats commis par les terroristes à Sousse, à Ankara, au-dessus du Sinaï, à Beyrouth, à Paris et tous les autres pour motiver sa décision.
Cette résolution, proposée par la France, précise le communiqué, a été adoptée à l'unanimité des 15 membres. Les membres permanents du Conseil de sécurité sont la Chine, les États-Unis, la Fédération de Russie, la France et le Royaume-Uni. Ses membres élus sont actuellement l'Angola, le Chili, l'Espagne, la Jordanie, la Lituanie, la Malaisie, le Nigéria, la Nouvelle-Zélande, le Tchad et le Venezuela.
L'ONU a ainsi donné carte blanche aux États qui sont autorisés à prendre « toutes les mesures nécessaires (…) sur le territoire se trouvant sous le contrôle de l'EIIL, également connu sous le nom de Daech, en Syrie et en Iraq, (…) pour redoubler d'efforts et coordonner leur action en vue de prévenir et de mettre un terme aux actes de terrorisme commis en particulier » par ce groupe, « ainsi que par le Front el-Nosra et tous les autres individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda ». Il les invite également à « éliminer le sanctuaire qu'ils ont créé sur une grande partie des territoires de l'Iraq et de la Syrie ». Il engage les États membres à « intensifier leurs efforts pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui se rendent en Iraq et en Syrie et empêcher et éliminer le financement du terrorisme ».
Source : dépêche du service d'information de l'ONU