"Il faut montrer qu'à Bernabeu, dans notre stade, nous sommes les patrons", a déjà prévenu la star madrilène, Cristiano Ronaldo. Les Lyonnais rêvent donc de signer le plus grand exploit de l'histoire du club.
Invaincus depuis sept matches toutes compétitions confondues, les hommes de Claude Puel tenteront de défier tous les pronostics. "Déjà au match aller, personne ne pensait qu'on pouvait gagner. Alors à Madrid, on tentera d'appliquer la même recette", assure Jérémy Toulalan. Le milieu de terrain international, comme la grande majorité de ses coéquipiers, estime que cet avantage d'un but acquis au stade de Gerland est important, mais pas suffisant. "On ne doit pas penser à entrer sur le terrain seulement pour défendre parce qu'on connaît leurs joueurs. Ils possèdent un tel talent qu'ils finiront par nous marquer un but. Il faudra donc les empêcher de développer leur jeu et jouer les contre-attaques à fond dans l'optique de marquer un but", espère Aly Cissokho.
Si les Lyonnais marquent ce fameux but à l'extérieur, si précieux en Coupe d'Europe, le Real Madrid sera obligé d'en inscrire trois pour espérer se qualifier. "On aura alors davantage de latitude", glisse ainsi Anthony Réveillère.
Selon les statistiques de l'UEFA, 58% des équipes victorieuses 1-0 au match aller se sont qualifiées pour le tour suivant. "C'est un avantage psychologique mais pas le seul. En cinq confrontations face au Real, on n'a jamais perdu et on a réussi deux matches nuls à Bernabeu, en 2005 et 2006", rappelle Anthony Réveillère. Le défenseur lyonnais aurait pu ajouter que l'OL n'a jamais trébuché après une victoire en match aller en Ligue des Champions. Mais que valent toutes ces statistiques face à la puissance du Real Madrid?
Le club le plus titré du monde ne peut pas se permettre une sixième élimination consécutive à ce stade de la compétition. Construite à l'aide des 240 millions d'euros dépensés cet été en transferts, l'équipe du Real Madrid sera sous pression. En Espagne, une élimination serait vécue comme une véritable "catastrophe industrielle". "C'est vrai, mais dans ma tête, il n'existe aucune possibilité de ne pas se qualifier. J'ai une confiance aveugle en moi et mes coéquipiers", lance l'attaquant argentin Gonzalo Higuain, véritable terreur des surfaces avec ses 18 buts cette saison... soit autant que l'Argentin de l'OL, Lisandro.
Vainqueurs de douze de leurs quinze derniers matches, les Madrilènes semblent encore plus affûtés depuis trois rencontres. Face à Villareal, à Tenerife et face à Séville, ils ont inscrit quatorze buts. La défense lyonnaise, invincible depuis 620 minutes, série en cours, va donc passer un sacré test mercredi soir.
L'attaque du Real Madrid sera tout de même privée de Karim Benzema, qui souffre d'une pubalgie, alors que Marcelo et Xabi Alonso sont suspendus. Du côté lyonnais, le Brésilien Michel Bastos a déclaré forfait à cause d'une blessure musculaire. Dans l'autre match de Ligue des Champions mercredi soir, Manchester United, vainqueur 3-2 au match aller, accueillera le Milan AC à Old Trafford.
Source: AP via Yahoo
Invaincus depuis sept matches toutes compétitions confondues, les hommes de Claude Puel tenteront de défier tous les pronostics. "Déjà au match aller, personne ne pensait qu'on pouvait gagner. Alors à Madrid, on tentera d'appliquer la même recette", assure Jérémy Toulalan. Le milieu de terrain international, comme la grande majorité de ses coéquipiers, estime que cet avantage d'un but acquis au stade de Gerland est important, mais pas suffisant. "On ne doit pas penser à entrer sur le terrain seulement pour défendre parce qu'on connaît leurs joueurs. Ils possèdent un tel talent qu'ils finiront par nous marquer un but. Il faudra donc les empêcher de développer leur jeu et jouer les contre-attaques à fond dans l'optique de marquer un but", espère Aly Cissokho.
Si les Lyonnais marquent ce fameux but à l'extérieur, si précieux en Coupe d'Europe, le Real Madrid sera obligé d'en inscrire trois pour espérer se qualifier. "On aura alors davantage de latitude", glisse ainsi Anthony Réveillère.
Selon les statistiques de l'UEFA, 58% des équipes victorieuses 1-0 au match aller se sont qualifiées pour le tour suivant. "C'est un avantage psychologique mais pas le seul. En cinq confrontations face au Real, on n'a jamais perdu et on a réussi deux matches nuls à Bernabeu, en 2005 et 2006", rappelle Anthony Réveillère. Le défenseur lyonnais aurait pu ajouter que l'OL n'a jamais trébuché après une victoire en match aller en Ligue des Champions. Mais que valent toutes ces statistiques face à la puissance du Real Madrid?
Le club le plus titré du monde ne peut pas se permettre une sixième élimination consécutive à ce stade de la compétition. Construite à l'aide des 240 millions d'euros dépensés cet été en transferts, l'équipe du Real Madrid sera sous pression. En Espagne, une élimination serait vécue comme une véritable "catastrophe industrielle". "C'est vrai, mais dans ma tête, il n'existe aucune possibilité de ne pas se qualifier. J'ai une confiance aveugle en moi et mes coéquipiers", lance l'attaquant argentin Gonzalo Higuain, véritable terreur des surfaces avec ses 18 buts cette saison... soit autant que l'Argentin de l'OL, Lisandro.
Vainqueurs de douze de leurs quinze derniers matches, les Madrilènes semblent encore plus affûtés depuis trois rencontres. Face à Villareal, à Tenerife et face à Séville, ils ont inscrit quatorze buts. La défense lyonnaise, invincible depuis 620 minutes, série en cours, va donc passer un sacré test mercredi soir.
L'attaque du Real Madrid sera tout de même privée de Karim Benzema, qui souffre d'une pubalgie, alors que Marcelo et Xabi Alonso sont suspendus. Du côté lyonnais, le Brésilien Michel Bastos a déclaré forfait à cause d'une blessure musculaire. Dans l'autre match de Ligue des Champions mercredi soir, Manchester United, vainqueur 3-2 au match aller, accueillera le Milan AC à Old Trafford.
Source: AP via Yahoo