L'accord de défense est une première étape vers la vente d'armements américains perfectionnés à l'Inde. Celui dans le nucléaire réserve à des entreprises américaines les chantiers de construction de deux centrales.
Les deux accords ont été annoncés conjointement par Hillary Clinton et son homologue indien, S.M. Krishna, lors d'une conférence de presse commune.
Ils constituent une avancée tangible pour la secrétaire d'Etat américaine, à l'occasion d'une visite censée marquer un renforcement des liens bilatéraux et illustrer l'engagement du président Barack Obama en faveur d'un rôle accru de l'Inde sur la scène internationale.
Le pacte de défense entre les deux pays permet à Washington, comme le requiert la législation américaine, de contrôler que New Delhi emploie bien les armes vendues aux fins prévues par le texte et empêche le transfert de technologie.
L'Inde devrait consacrer plus de 30 milliards de dollars en cinq ans à la modernisation de son arsenal militaire hérité de l'ère soviétique. Un tiers environ de la somme sera dédiée à l'achat de 126 avions de chasse, un marché potentiel pour Boeing ou Lockheed Martin.
A l'issue d'entretiens avec le Premier ministre Manmohan Singh, Hillary Clinton a dit qu'il avait accepté une invitation à effectuer une visite d'Etat à Washington le 24 novembre.
Il s'agirait d'une première pour un dirigeant étranger depuis le début de la présidence Obama, le 20 janvier, et d'un symbole de l'importance accordée par Washington aux relations avec l'Inde, a souligné un responsable du département d'Etat, sous le sceau de l'anonymat.
Hillary Clinton s'est en outre satisfaite de l'accord qui réserve à des entreprises américaines des chantiers de deux centrales nucléaires, dans le prolongement du pacte de coopération sur le nucléaire civil signé l'année dernière.
"Je suis ravie que le Premier ministre Singh m'ait dit que les sites pour deux parcs nucléaires (réservés) à des entreprises américaines aient été approuvés par le parlement", a-t-elle dit.
Des responsables américains estiment que ces chantiers représentent jusqu'à 10 milliards de dollars de contrats pour les constructeurs de réacteurs nucléaires.
Source: Reuters via Yahoo News
Les deux accords ont été annoncés conjointement par Hillary Clinton et son homologue indien, S.M. Krishna, lors d'une conférence de presse commune.
Ils constituent une avancée tangible pour la secrétaire d'Etat américaine, à l'occasion d'une visite censée marquer un renforcement des liens bilatéraux et illustrer l'engagement du président Barack Obama en faveur d'un rôle accru de l'Inde sur la scène internationale.
Le pacte de défense entre les deux pays permet à Washington, comme le requiert la législation américaine, de contrôler que New Delhi emploie bien les armes vendues aux fins prévues par le texte et empêche le transfert de technologie.
L'Inde devrait consacrer plus de 30 milliards de dollars en cinq ans à la modernisation de son arsenal militaire hérité de l'ère soviétique. Un tiers environ de la somme sera dédiée à l'achat de 126 avions de chasse, un marché potentiel pour Boeing ou Lockheed Martin.
A l'issue d'entretiens avec le Premier ministre Manmohan Singh, Hillary Clinton a dit qu'il avait accepté une invitation à effectuer une visite d'Etat à Washington le 24 novembre.
Il s'agirait d'une première pour un dirigeant étranger depuis le début de la présidence Obama, le 20 janvier, et d'un symbole de l'importance accordée par Washington aux relations avec l'Inde, a souligné un responsable du département d'Etat, sous le sceau de l'anonymat.
Hillary Clinton s'est en outre satisfaite de l'accord qui réserve à des entreprises américaines des chantiers de deux centrales nucléaires, dans le prolongement du pacte de coopération sur le nucléaire civil signé l'année dernière.
"Je suis ravie que le Premier ministre Singh m'ait dit que les sites pour deux parcs nucléaires (réservés) à des entreprises américaines aient été approuvés par le parlement", a-t-elle dit.
Des responsables américains estiment que ces chantiers représentent jusqu'à 10 milliards de dollars de contrats pour les constructeurs de réacteurs nucléaires.
Source: Reuters via Yahoo News