Pour la deuxième journée consécutive, aucune nouvelle arrivée n'a été enregistrée à Ceuta, ville espagnole de 85 000 habitants au centre d'un conflit diplomatique entre l'Espagne et le Maroc, après que les autorités marocaines ont renforcé la vigilance de leur côté de la frontière.
Mais dans la ville voisine de Melilla, un autre territoire espagnol situé à 350 kilomètres (220 miles) à l'ouest, le long de la mer Méditerranée, à côté du Maroc, les forces de sécurité frontalières des deux côtés ont repoussé des groupes de jeunes qui tentaient d'entrer en Espagne. La délégation du gouvernement espagnol à Melilla a déclaré que quelques dizaines de jeunes avaient réussi à entrer.
Les relations entre les deux voisins méditerranéens sont tombées au plus bas suite à la décision de l'Espagne, le mois dernier, d'autoriser l'entrée pour un traitement médical à l'homme qui dirige le mouvement qui lutte pour l'indépendance du Sahara occidental depuis que le Maroc a annexé ce vaste territoire dans les années 1970.
Les responsables de Rabat déclarent que la présence du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, en Espagne, où il est entré avec un passeport algérien portant un faux nom, est inacceptable. Ghali, que le Maroc considère comme un terroriste, se remet du COVID-19 dans un hôpital du nord de l'Espagne depuis le 18 avril.
Il a également été convoqué pour être interrogé par la Cour nationale espagnole le 1er juin dans le cadre d'un procès pour tortures présumées et fait l'objet d'une enquête pour génocide éventuel dans une affaire distincte portée par des groupes sahraouis dissidents qui s'opposent au Polisario.
Mais dans la ville voisine de Melilla, un autre territoire espagnol situé à 350 kilomètres (220 miles) à l'ouest, le long de la mer Méditerranée, à côté du Maroc, les forces de sécurité frontalières des deux côtés ont repoussé des groupes de jeunes qui tentaient d'entrer en Espagne. La délégation du gouvernement espagnol à Melilla a déclaré que quelques dizaines de jeunes avaient réussi à entrer.
Les relations entre les deux voisins méditerranéens sont tombées au plus bas suite à la décision de l'Espagne, le mois dernier, d'autoriser l'entrée pour un traitement médical à l'homme qui dirige le mouvement qui lutte pour l'indépendance du Sahara occidental depuis que le Maroc a annexé ce vaste territoire dans les années 1970.
Les responsables de Rabat déclarent que la présence du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, en Espagne, où il est entré avec un passeport algérien portant un faux nom, est inacceptable. Ghali, que le Maroc considère comme un terroriste, se remet du COVID-19 dans un hôpital du nord de l'Espagne depuis le 18 avril.
Il a également été convoqué pour être interrogé par la Cour nationale espagnole le 1er juin dans le cadre d'un procès pour tortures présumées et fait l'objet d'une enquête pour génocide éventuel dans une affaire distincte portée par des groupes sahraouis dissidents qui s'opposent au Polisario.