Les députés français ont achevé jeudi l'examen, en deuxième lecture, du projet de loi de réforme territoriale après avoir rétabli à 13 le nombre de régions dans l'Hexagone, deux de moins que ce qu'a proposé le gouvernement et approuvé le Sénat. L'Assemblée se prononcera mardi prochain par un vote solennel sur ce texte qui prévoit de reporter les élections départementales à mars 2015 et régionales à la fin de 2015. (L'Assemblée a rétabli à 13 le nombre de régions - Reuters)
La carte des 13 nouvelles régions a été adoptée en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. L'ultime débat passionnel a été marqué notamment par le baroud d'honneur des députés UMP alsaciens contre la fusion avec Champagne-Ardenne et Lorraine. En vain. La France ne comptera plus que 13 régions au lieu de 22 à compter de 2016. L'Assemblée nationale a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi cette nouvelle carte des régions. Six heures de débats ont été nécessaires dans l'hémicycle pour aboutir au vote de l'article 1er du projet de loi de réforme territoriale. Le dialogue est "allé à son terme", a plaidé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve … (La carte des 13 régions adoptée par l'Assemblée nationale - LEXPRESS.fr via Yahoo Actualités)
Les régions qui fusionnent de bonne grâce: Au premier rang de celles-ci, on retrouve la Bourgogne et la Franche-Comté dont le rapprochement ne date pas d'hier. Les deux régions travaillent déjà main dans la main sur plusieurs projets dont celui d'un aéroport commun Dole-Dijon. Les deux Normandie acceptent elles aussi ce mariage un peu forcé avec enthousiasme (reste à régler la question de la capitale régionale). Les fusions entre le Rhône-Alpes et l'Auvergne, le Languedoc-Roussillon et le Midi-Pyrénées ainsi que la création d'une grande région sud-ouest (Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes) semblent également en bonne voie. Même si certains députés étaient plutôt partisans d'un grand Massif Central.
Les régions qui s'opposent à la réforme: Tout n'est pas rose dans cette réforme et souvent les dents grincent. C'est notamment le cas pour le rapprochement des régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie qui a provoqué une levée de boucliers dans le nord de la France, une fronde menée par Marine Aubry en personne, fermement opposée à ce projet. (Un redécoupage qui fâche - francesoir.fr)
La carte des 13 nouvelles régions a été adoptée en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. L'ultime débat passionnel a été marqué notamment par le baroud d'honneur des députés UMP alsaciens contre la fusion avec Champagne-Ardenne et Lorraine. En vain. La France ne comptera plus que 13 régions au lieu de 22 à compter de 2016. L'Assemblée nationale a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi cette nouvelle carte des régions. Six heures de débats ont été nécessaires dans l'hémicycle pour aboutir au vote de l'article 1er du projet de loi de réforme territoriale. Le dialogue est "allé à son terme", a plaidé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve … (La carte des 13 régions adoptée par l'Assemblée nationale - LEXPRESS.fr via Yahoo Actualités)
Les régions qui fusionnent de bonne grâce: Au premier rang de celles-ci, on retrouve la Bourgogne et la Franche-Comté dont le rapprochement ne date pas d'hier. Les deux régions travaillent déjà main dans la main sur plusieurs projets dont celui d'un aéroport commun Dole-Dijon. Les deux Normandie acceptent elles aussi ce mariage un peu forcé avec enthousiasme (reste à régler la question de la capitale régionale). Les fusions entre le Rhône-Alpes et l'Auvergne, le Languedoc-Roussillon et le Midi-Pyrénées ainsi que la création d'une grande région sud-ouest (Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes) semblent également en bonne voie. Même si certains députés étaient plutôt partisans d'un grand Massif Central.
Les régions qui s'opposent à la réforme: Tout n'est pas rose dans cette réforme et souvent les dents grincent. C'est notamment le cas pour le rapprochement des régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie qui a provoqué une levée de boucliers dans le nord de la France, une fronde menée par Marine Aubry en personne, fermement opposée à ce projet. (Un redécoupage qui fâche - francesoir.fr)