La tension, palpable durant les hymnes, est encore montée d'un cran lors du coup d'envoi. Crispées par l'enjeu, les deux équipes n'ont pris aucun risque, renvoyant régulièrement leurs adversaires dans leur camp à l'aide de longs coups de botte. Trois pénalités passées par Percy Montgomery ont permis aux Sud-Africains de prendre le thé avec 6 points d'avance. Côté anglais, Wilkinson n'en tranformait qu'une sur deux, et ne prenait pas d'emprise sur le jeu.
Au retour des vestiaires, l'Angleterre revenait au score, sur une nouvelle pénalité de "Wilko" consécutive à un essai refusé à ses couleurs après le visionnage de la vidéo. Les blessures quasi simultanées de l'arrière Jason Robinson et du vétéran Mike Catt ont marqué le réveil des intentions offensives des deux équipes.
Malgré des intentions louables, les Anglais ont buté sur une défense très solide et remarquablement organisée. Les botteurs Springboks Steyn et Mongomery ont ensuite assuré l'essentiel en marquant les points qui étaient à prendre, alors que leurs avants restaient impériaux sur les touches. L'Afrique du Sud a géré son avantage pour l'emporter logiquement. C'est la première finale de l'histoire dans laquelle aucun n'essai n'a été marqué.
Maîtrisant leur sujet, les Sud-Africains, seule équipe invaincue de la Coupe du monde, remportent de manière méritée un deuxième titre planétaire. Sur l'ensemble de la compétition, les coéquipiers du capitaine John Smit n'ont connu qu'un petit coup d'arrêt en quart de finale face aux Fidji. Trop sûrs de leur supériorité, ils avaient failli se faire surprendre par des Iliens survoltés.
Au retour des vestiaires, l'Angleterre revenait au score, sur une nouvelle pénalité de "Wilko" consécutive à un essai refusé à ses couleurs après le visionnage de la vidéo. Les blessures quasi simultanées de l'arrière Jason Robinson et du vétéran Mike Catt ont marqué le réveil des intentions offensives des deux équipes.
Malgré des intentions louables, les Anglais ont buté sur une défense très solide et remarquablement organisée. Les botteurs Springboks Steyn et Mongomery ont ensuite assuré l'essentiel en marquant les points qui étaient à prendre, alors que leurs avants restaient impériaux sur les touches. L'Afrique du Sud a géré son avantage pour l'emporter logiquement. C'est la première finale de l'histoire dans laquelle aucun n'essai n'a été marqué.
Maîtrisant leur sujet, les Sud-Africains, seule équipe invaincue de la Coupe du monde, remportent de manière méritée un deuxième titre planétaire. Sur l'ensemble de la compétition, les coéquipiers du capitaine John Smit n'ont connu qu'un petit coup d'arrêt en quart de finale face aux Fidji. Trop sûrs de leur supériorité, ils avaient failli se faire surprendre par des Iliens survoltés.