Les causes de surpoids sont multiples. Les psychothérapeutes en recensent 12, qui sont inscrites en nous par notre histoire familiale.
La survie : la graisse présente sur la zone abdominale est vécue comme un moyen de protection face à un éventuel danger. L’abandon dans l’enfance, un chagrin d’amour et les kilos s’accumulent. Le manque de nourriture, d’argent, d’amour font que plus tard on stocke y compris les kilos. La non-communication : la prise de poids est un cri pour affirmer son existence. La fidélité : on décide d’accumuler des kilos pour ne plus prendre le risque de souffrir à nouveau par rapport à quelqu’un qui n’est plus, un amour passé ou une promesse. La manipulation : avec une surcharge pondérale on se positionne en victime afin d’inspirer la pitié. L’ego quand le surpoids crie que l’univers c’est moi face à un moi hypertrophié ou anémié. L’invisibilité : on cache un problème que l’on veut garder pour soi en mettant un autre problème en avant caractérisé par l’excès de poids. L’appartenance : par peur du rejet et besoin d’identification on devient gros comme les autres membres de la famille, ou l’on tait ses différences sous les kilos. La féminité : des parents qui désiraient un garçon, une mère rivale, un père macho ; le poids des kilos étouffe l’expression apparente de féminité. La masculinité : la prise de poids permet au fils de ne pas ressembler à l’image paternelle en affichant des rondeurs inoffensives face à un père violent. La sexualité : la frustration des plaisirs de la chair est compensée à l’excès par les plaisirs de la nourriture.
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La survie : la graisse présente sur la zone abdominale est vécue comme un moyen de protection face à un éventuel danger. L’abandon dans l’enfance, un chagrin d’amour et les kilos s’accumulent. Le manque de nourriture, d’argent, d’amour font que plus tard on stocke y compris les kilos. La non-communication : la prise de poids est un cri pour affirmer son existence. La fidélité : on décide d’accumuler des kilos pour ne plus prendre le risque de souffrir à nouveau par rapport à quelqu’un qui n’est plus, un amour passé ou une promesse. La manipulation : avec une surcharge pondérale on se positionne en victime afin d’inspirer la pitié. L’ego quand le surpoids crie que l’univers c’est moi face à un moi hypertrophié ou anémié. L’invisibilité : on cache un problème que l’on veut garder pour soi en mettant un autre problème en avant caractérisé par l’excès de poids. L’appartenance : par peur du rejet et besoin d’identification on devient gros comme les autres membres de la famille, ou l’on tait ses différences sous les kilos. La féminité : des parents qui désiraient un garçon, une mère rivale, un père macho ; le poids des kilos étouffe l’expression apparente de féminité. La masculinité : la prise de poids permet au fils de ne pas ressembler à l’image paternelle en affichant des rondeurs inoffensives face à un père violent. La sexualité : la frustration des plaisirs de la chair est compensée à l’excès par les plaisirs de la nourriture.
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