Les membres du Mungiki, un groupe quasi-religieux clandestin lié à une série de décapitations ont organisé des manifestations dans plusieurs villes du pays pour exiger la libération de l'épouse de l'un des chefs du groupe. Ils ont installé des barrages routiers et incendié un poste de police pour protester contre cette incarcération.
Ces violences viennent à nouveau souligner la difficulté du pays à sortir du cycle de la violence qui a commencé au lendemain de l'élection présidentielle, le 27 décembre, et qui s'est soldé par plus d'un millier de morts.
Source: yahoo news
Ces violences viennent à nouveau souligner la difficulté du pays à sortir du cycle de la violence qui a commencé au lendemain de l'élection présidentielle, le 27 décembre, et qui s'est soldé par plus d'un millier de morts.
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