En effet, L'Union syndicale des magistrats (USM) a appelé vendredi ses troupes à se joindre au mouvement de grève du 29 novembre initié par le Syndicat de la magistrature (SM) et ceux de personnels de justice pour protester contre la réforme de la carte judiciaire.
Comme les autres syndicats, l'USM dénonce une "réforme au forceps" de la carte judiciaire qui s'est faite sans aucune concertation avec les principaux intéressés, élus, magistrats, fonctionnaires.
Au-delà de cette réforme, le principal syndicat de magistrats estime que le malaise est grand dans le monde judiciaire en raison de la méthode de Rachida Dati. Dans son communiqué, l'USM invite les avocats et élus locaux à "rejoindre ce mouvement national de protestation". Mercredi, cinq députés UMP ont menacé de ne pas voter le budget de la justice si la garde des Sceaux n'engageait pas une vraie concertation avec les élus.
Samedi, Rachida Dati doit se rendre dans les cours d'appel de Montpellier, Nîmes et Aix-en-Provence pour présenter le projet de réorganisation de ces trois juridictions.
Comme les autres syndicats, l'USM dénonce une "réforme au forceps" de la carte judiciaire qui s'est faite sans aucune concertation avec les principaux intéressés, élus, magistrats, fonctionnaires.
Au-delà de cette réforme, le principal syndicat de magistrats estime que le malaise est grand dans le monde judiciaire en raison de la méthode de Rachida Dati. Dans son communiqué, l'USM invite les avocats et élus locaux à "rejoindre ce mouvement national de protestation". Mercredi, cinq députés UMP ont menacé de ne pas voter le budget de la justice si la garde des Sceaux n'engageait pas une vraie concertation avec les élus.
Samedi, Rachida Dati doit se rendre dans les cours d'appel de Montpellier, Nîmes et Aix-en-Provence pour présenter le projet de réorganisation de ces trois juridictions.