L'ex-conseiller du ministre de la Défense pour le renseignement et les opérations spéciales (Cros), vêtu d'un imperméable vert et portant un chapeau brun, est arrivé le visage caché derrière un journal et était accompagné d'un avocat.
Il s'agit de sa sixième audition en tant que témoin assisté depuis le 22 mai dans cette affaire de dénonciation calomnieuse.
Auparavant, il avait été entendu comme simple témoin le 28 mars 2006. La révélation de son témoignage, un mois plus tard dans Le Monde, avait lancé l'affaire Clearstream, les noms de Dominique de Villepin et de Jacques Chirac ayant été lâchés par le général. Il les avait ensuite mis hors de cause.
Depuis le 22 mai, les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons ont cherché à retracer avec le général le déroulement des faits de façon chronologique. Ils l'ont notamment interrogé sur la réunion du 9 janvier 2004 dans le bureau de M. de Villepin, alors au Quai d'Orsay, au cours de laquelle ce dernier l'avait chargé d'une enquête pour opérer des "vérifications" sur les listings de la chambre de compensation financière Clearstream, installée au Luxembourg.
Il s'agit de sa sixième audition en tant que témoin assisté depuis le 22 mai dans cette affaire de dénonciation calomnieuse.
Auparavant, il avait été entendu comme simple témoin le 28 mars 2006. La révélation de son témoignage, un mois plus tard dans Le Monde, avait lancé l'affaire Clearstream, les noms de Dominique de Villepin et de Jacques Chirac ayant été lâchés par le général. Il les avait ensuite mis hors de cause.
Depuis le 22 mai, les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons ont cherché à retracer avec le général le déroulement des faits de façon chronologique. Ils l'ont notamment interrogé sur la réunion du 9 janvier 2004 dans le bureau de M. de Villepin, alors au Quai d'Orsay, au cours de laquelle ce dernier l'avait chargé d'une enquête pour opérer des "vérifications" sur les listings de la chambre de compensation financière Clearstream, installée au Luxembourg.