"Notre pays, pour la première fois de ma vie, a abandonné le principe fondamental des droits de l'Homme", a-t-il affirmé sur CNN.
"Nous avons dit que les Conventions de Genève ne s'appliquaient pas aux personnes qui se trouvent dans la prison d'Abou Ghraïb et à Guantanamo. Et nous avons dit que nous pouvons torturer des prisonniers et les priver d'une accusation de crime", a-t-il poursuivi.
Réagissant à une information publiée le 4 octobre dernier par le "New York Times" sur l'utilisation de "techniques d'interrogatoire musclées", le président Bush avait défendu ces méthodes en assurant vendredi dernier que son "gouvernement ne torturait pas les gens".
Selon le quotidien, les enquêteurs américains n'hésiteraient pas à gifler leurs prisonniers, à leur faire subir des simulacres de noyade ou à les exposer à des températures glaciales. Pour Jimmy Carter, il s'agit bien de techniques de torture. "Mais on peut avoir sa propre définition des droits de l'Homme et dire qu'on les respecte"
"Nous avons dit que les Conventions de Genève ne s'appliquaient pas aux personnes qui se trouvent dans la prison d'Abou Ghraïb et à Guantanamo. Et nous avons dit que nous pouvons torturer des prisonniers et les priver d'une accusation de crime", a-t-il poursuivi.
Réagissant à une information publiée le 4 octobre dernier par le "New York Times" sur l'utilisation de "techniques d'interrogatoire musclées", le président Bush avait défendu ces méthodes en assurant vendredi dernier que son "gouvernement ne torturait pas les gens".
Selon le quotidien, les enquêteurs américains n'hésiteraient pas à gifler leurs prisonniers, à leur faire subir des simulacres de noyade ou à les exposer à des températures glaciales. Pour Jimmy Carter, il s'agit bien de techniques de torture. "Mais on peut avoir sa propre définition des droits de l'Homme et dire qu'on les respecte"