France
15/10/2009 15:37

Jean Sarkozy, un «dauphin» au milieu des «requins»

«J'ai compris que, lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles». Le fils du chef de l'Etat, dont la candidature à la tête de l'Epad n'en finit pas de susciter la controverse, n'en démord pas : il estime avoir les compétences nécessaires pour assurer de telles fonctions et a bien l'intention d'aller jusqu'au bout de sa démarche.


«Depuis deux ans que je suis élu (...), je suis sans cesse sur le terrain et sur le fond», se défend Jean Sarkozy, qui, en parallèle de ses fonctions politiques, est étudiant en deuxième année de droit.

Les critiques ? Il a l'habitude, explique-t-il. «Quand on parle de dauphin, je comprends mieux pourquoi : j'ai vu qu'il y avait un certain nombre de requins autour de moi. (...) J'ai été attaqué sur tous les chapitres : mon âge, mon nom, mon activité (...)», raconte-t-il. «Ce n'est jamais agréable - et c'est un euphémisme - mais, en même temps, il n'y a pas d'engagement en politique possible sans attaques».

«Dans un an et demi, j'aurai ma licence !»

Le fils du chef de l'Etat explique qu'il est «calme» et «serein» quant à sa candidature à la tête de l'établissement public. «Ceux qui vont être appelés à en juger seront 44 élus du conseil général qui ont entre 30 et 80 ans et qui me voient travailler quotidiennement depuis deux ans. Aussi bien à la tête de la commission Transports - ce qui m'a amené à m'occuper de sujets majeurs pour La Défense et pour l'ensemble du département - qu'à la présidence du groupe», développe-t-il. Avant d'ajouter : «C'est fort de cette légitimité-là que j'ai proposé ma candidature».

Au sujet de ces études, Jean Sarkozy estime qu'il a fait «un choix exigeant» en conciliant engagement politique, responsabilités d'élu et formation universitaire. Et, selon lui, le trio s'avère gagnant : «J'ai validé trois matières de ma deuxième année présentée. Et je peux même vous donner les notes : 11 en histoire des idées politiques, 14 en finances publiques et 19 en d... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr


Source: Le Figaro via Yahoo News


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