Jamal Dati, 36 ans, condamné le 21 août 2007 à un an de prison ferme par la cour d'appel de Nancy (Meurthe-et-Moselle) pour trafic de stupéfiants bénéficiera d'un aménagement de sa peine pour lui permettre de continuer à travailler, apprend-on de source judiciaire.
En septembre 2007, il s'était pourvu en cassation puis avait renoncé pour demander un aménagement de sa peine qu'avait d'ailleurs suggéré l'avocat général de la cour d'appel, la peine infligée n'étant pas supérieure à un an ferme.
Jamal Dati avait demandé dans un premier temps la pose d'un bracelet électronique mais son métier de tuyauteur chez un chauffagiste l'oblige à se déplacer. En outre lors de son procès en appel, il avait assuré qu'il n'était plus dépendant de la drogue et bénéficiait de soins, tout en précisant qu'il était père d'un enfant malade.
Son frère Omar condamné en décembre à 8 mois de prison ferme à Châlon-sur Saône pour trafic de stupéfiants, employé chez Areva, bénéficie d'un aménagement de peine par la pose d'un bracelet électronique.
Source: news.yahoo.com
En septembre 2007, il s'était pourvu en cassation puis avait renoncé pour demander un aménagement de sa peine qu'avait d'ailleurs suggéré l'avocat général de la cour d'appel, la peine infligée n'étant pas supérieure à un an ferme.
Jamal Dati avait demandé dans un premier temps la pose d'un bracelet électronique mais son métier de tuyauteur chez un chauffagiste l'oblige à se déplacer. En outre lors de son procès en appel, il avait assuré qu'il n'était plus dépendant de la drogue et bénéficiait de soins, tout en précisant qu'il était père d'un enfant malade.
Son frère Omar condamné en décembre à 8 mois de prison ferme à Châlon-sur Saône pour trafic de stupéfiants, employé chez Areva, bénéficie d'un aménagement de peine par la pose d'un bracelet électronique.
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