Dans ce dossier, vingt personnes sont soupçonnées d'avoir attribué des emplois de complaisance ou d'en avoir bénéficié dans les années 80-90, du temps des maires Jacques Chirac (1977-1995) et Jean Tiberi (1995-2001).
Alain Juppé, ancien adjoint aux finances de la mairie avait été entendu comme témoin le 15 mai à Nanterre.
Depuis le 17 juin 2007, Jacques Chirac a retrouvé le statut de justiciable ordinaire. Il a depuis été interrogé le 19 juillet à son bureau dans un autre dossier, celui des emplois fictifs du RPR. Quatre de ses ex-directeurs de cabinet sont déjà mis en examen dans cette affaire.
Jacques Chirac reconnaît dans une tribune intitulée «Vérité sur les chargés de mission de Paris», publiée par Le Monde daté de jeudi avoir «souhaité ou autorisé», lorsqu'il était maire de Paris, les recrutements de chargés de mission car ils étaient «légitimes autant que nécessaires».
«Ces recrutements, je les ai souhaités ou autorisés parce qu'ils étaient légitimes autant que nécessaires», déclare l'ancien président de la République. Jacques Chirac y regrette toutes les «choses inexactes, parfois outrancières» qui ont été dites sur ce sujet, et explique qu'il lui apparaît de ce fait «nécessaire» de «s'adresser simultanément aux Français».
Alain Juppé, ancien adjoint aux finances de la mairie avait été entendu comme témoin le 15 mai à Nanterre.
Depuis le 17 juin 2007, Jacques Chirac a retrouvé le statut de justiciable ordinaire. Il a depuis été interrogé le 19 juillet à son bureau dans un autre dossier, celui des emplois fictifs du RPR. Quatre de ses ex-directeurs de cabinet sont déjà mis en examen dans cette affaire.
Jacques Chirac reconnaît dans une tribune intitulée «Vérité sur les chargés de mission de Paris», publiée par Le Monde daté de jeudi avoir «souhaité ou autorisé», lorsqu'il était maire de Paris, les recrutements de chargés de mission car ils étaient «légitimes autant que nécessaires».
«Ces recrutements, je les ai souhaités ou autorisés parce qu'ils étaient légitimes autant que nécessaires», déclare l'ancien président de la République. Jacques Chirac y regrette toutes les «choses inexactes, parfois outrancières» qui ont été dites sur ce sujet, et explique qu'il lui apparaît de ce fait «nécessaire» de «s'adresser simultanément aux Français».