"Que l'on veuille établir des conditions d'hygiène, de sécurité, à Calais ou sur la côte, oui, mais je ne comprends pas ce qui est engagé là", a lancé l'ancien ministre de l'Education nationale sur France Inter. "On va détruire les installations et ces personnes vont se retrouver encore plus démunies".
"On sait que, d'ores et déjà, les conditions d'hygiène, de protection ne sont pas assurées. Le froid va arriver; des enfants, des familles, vont se trouver dans une grande difficulté", a poursuivi Jack Lang. "Indépendamment de toute considération idéologique, il y a des considérations d'humanité".
Selon le député PS, "on ne peut pas se contenter de dire 'Je détruis des installations'". "Et ensuite, quoi?", a-t-il demandé. Disant ne pas croire à la réouverture d'un centre comme Sangatte, il a plaidé pour l'instauration d'un "certain nombre de systèmes comparables à un Samu social qui serait installé" à Calais et sur d'autres zones de la côte.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"On sait que, d'ores et déjà, les conditions d'hygiène, de protection ne sont pas assurées. Le froid va arriver; des enfants, des familles, vont se trouver dans une grande difficulté", a poursuivi Jack Lang. "Indépendamment de toute considération idéologique, il y a des considérations d'humanité".
Selon le député PS, "on ne peut pas se contenter de dire 'Je détruis des installations'". "Et ensuite, quoi?", a-t-il demandé. Disant ne pas croire à la réouverture d'un centre comme Sangatte, il a plaidé pour l'instauration d'un "certain nombre de systèmes comparables à un Samu social qui serait installé" à Calais et sur d'autres zones de la côte.
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