L'absence du père, opposé à des funérailles religieuses, "vise à ménager la sensibilité de tous les membres de la famille dont certains sont attachés à la tradition religieuse alors que d'autres le sont moins", a déclaré l'avocat de la famille, Vittorio Angiolini.
Le père d'Eluana, qui voulait que "l'Eglise reste en-dehors" des funérailles, a finalement accepté des obsèques religieuses à la demande de son frère.
"Je ne change pas d'avis, mais j'ai écouté mon frère, nous nous sommes parlés et une fois de plus j'ai essayé de faire quelque chose pour le bien de ma fille", a déclaré Beppino Englaro, cité par le Corriere della Sera.
Le cortège funèbre s'est arrêté devant la maison de famille où Beppino Englaro a salué la dépouille de sa fille avant que celle-ci ne rejoigne le cimetière, selon l'agence Ansa.
"Maintenant tu es libre et tu peux reposer en paix. Tu es proche de Dieu et tu connais la vérité. Sois proche de ta mère et de ton père et fais sentir ta présence du ciel", a dit le prêtre au cours de la cérémonie funèbre, selon la même source, assurant à la famille que "l'Eglise ne s'est jamais sentie étrangère" à leur souffrance.
Il y a deux jours, les avocats de M. Englaro avaient fait savoir qu'il ne souhaitait pas de funérailles religieuses pour sa fille, mais une simple bénédiction de la dépouille suivie d'une crémation, avant le dépôt de l'urne dans le caveau de famille au cimetière de Paluzza, bourg de la région d'Udine (nord-est).
Eluana Englaro, 38 ans, est décédée lundi soir dans une clinique d'Udine, un peu plus de trois jours après l'arrêt de son alimentation artificielle.
Le Vatican et la presse catholique italienne ont comparé la mort d'Eluana à un "crime".
La cas d'Eluana a donné lieu à un bras de fer politique sans précédent entre le président de la République, Giorgio Napolitano, et le chef du gouvernement, Silvio Berlusconi, ce dernier ayant cherché à empêcher jusqu'au dernier moment l'interruption de l'alimentation et de l'hydratation artificielles de la jeune femme.
Source: Yahoo News
Le père d'Eluana, qui voulait que "l'Eglise reste en-dehors" des funérailles, a finalement accepté des obsèques religieuses à la demande de son frère.
"Je ne change pas d'avis, mais j'ai écouté mon frère, nous nous sommes parlés et une fois de plus j'ai essayé de faire quelque chose pour le bien de ma fille", a déclaré Beppino Englaro, cité par le Corriere della Sera.
Le cortège funèbre s'est arrêté devant la maison de famille où Beppino Englaro a salué la dépouille de sa fille avant que celle-ci ne rejoigne le cimetière, selon l'agence Ansa.
"Maintenant tu es libre et tu peux reposer en paix. Tu es proche de Dieu et tu connais la vérité. Sois proche de ta mère et de ton père et fais sentir ta présence du ciel", a dit le prêtre au cours de la cérémonie funèbre, selon la même source, assurant à la famille que "l'Eglise ne s'est jamais sentie étrangère" à leur souffrance.
Il y a deux jours, les avocats de M. Englaro avaient fait savoir qu'il ne souhaitait pas de funérailles religieuses pour sa fille, mais une simple bénédiction de la dépouille suivie d'une crémation, avant le dépôt de l'urne dans le caveau de famille au cimetière de Paluzza, bourg de la région d'Udine (nord-est).
Eluana Englaro, 38 ans, est décédée lundi soir dans une clinique d'Udine, un peu plus de trois jours après l'arrêt de son alimentation artificielle.
Le Vatican et la presse catholique italienne ont comparé la mort d'Eluana à un "crime".
La cas d'Eluana a donné lieu à un bras de fer politique sans précédent entre le président de la République, Giorgio Napolitano, et le chef du gouvernement, Silvio Berlusconi, ce dernier ayant cherché à empêcher jusqu'au dernier moment l'interruption de l'alimentation et de l'hydratation artificielles de la jeune femme.
Source: Yahoo News