"En démocratie, lorsque l'on est en présence d'une crise politique aussi irréversible que la crise actuelle, la seule et unique voie à suivre est le retour aux urnes", peut-on lire sur les pleines pages de publicités dans les journaux que s'est offertes M. Berlusconi pour cette campagne.
Cette mobilisation, dont l'objectif est de recueillir 5 millions de signatures avant dimanche soir, a lieu après la victoire jeudi de M. Prodi au Sénat, qui a approuvé le budget 2008 au cours d'un vote crucial pour la survie du gouvernement de centre-gauche. M. Berlusconi avait parié sur un échec.
Un règlement de comptes s'est engagé au sein de la droite au lendemain du vote. M. Berlusconi reproche à ses alliés, Alliance Nationale (AN, droite conservatrice) et les démocrates-chrétiens de l'UDC, d'être prêts à négocier avec la majorité sur la réforme de la loi électorale.
M. Prodi a de son côté lancé un appel à l'opposition pour qu'elle négocie avec la majorité une réforme de la loi électorale et des institutions. Mais M. Berlusconi a de nouveau répondu par la négative, estimant dans le quotidien la Stampa que "les conditions pour s'asseoir à la table (des négociations) en vue d'un dialogue sérieux ne sont pas réunies".
Cette mobilisation, dont l'objectif est de recueillir 5 millions de signatures avant dimanche soir, a lieu après la victoire jeudi de M. Prodi au Sénat, qui a approuvé le budget 2008 au cours d'un vote crucial pour la survie du gouvernement de centre-gauche. M. Berlusconi avait parié sur un échec.
Un règlement de comptes s'est engagé au sein de la droite au lendemain du vote. M. Berlusconi reproche à ses alliés, Alliance Nationale (AN, droite conservatrice) et les démocrates-chrétiens de l'UDC, d'être prêts à négocier avec la majorité sur la réforme de la loi électorale.
M. Prodi a de son côté lancé un appel à l'opposition pour qu'elle négocie avec la majorité une réforme de la loi électorale et des institutions. Mais M. Berlusconi a de nouveau répondu par la négative, estimant dans le quotidien la Stampa que "les conditions pour s'asseoir à la table (des négociations) en vue d'un dialogue sérieux ne sont pas réunies".