Israël et le Hezbollah libanais vont procéder mercredi à un échange de prisonniers, dans le cadre d'un accord conclu sous l'égide de l'Onu, ont fait savoir dimanche les services pénitentiaires israéliens.
De source proche des services de sécurité libanais, on avait déclaré récemment qu'en vertu de l'accord, Israël remettrait en liberté cinq prisonniers libanais et le Hezbollah restituerait les deux soldats israéliens enlevés lors d'un raid à la frontière, qui avait déclenché la guerre de l'été 2006 entre l'Etat juif et le Hezbollah.
Le Hezbollah n'a à ce jour rien dit de la condition actuelle d'Ehud Goldwasser et Mark Regev.
Lors de la validation de l'échange par le gouvernement israélien, le 29 juin, le Premier ministre Ehud Olmert avait dit
à ses ministres, selon une source proche du cabinet, que les deux prisonniers n'avaient probablement pas survécu à leur enlèvement.
Les autorités israéliennes étaient arrivées à cette conclusion sur la base de tâches de sang et de traces d'explosion découvertes à l'endroit où la patrouille des deux soldats avait été attaquée. Huit autres militaires avaient péri.
Olmert avait dit avoir beaucoup hésité avant d'entériner l'accord d'échange, que le Hezbollah a accepté le 2 juillet. Il a été qualifié de "grande avancée" par le chef du mouvement chiite libanais, Hassan Nasrallah.
Les services pénitentiaires n'ont pas précisé où l'échange aurait lieu le long de la frontière israélo-libanaise.
Source: France 24
De source proche des services de sécurité libanais, on avait déclaré récemment qu'en vertu de l'accord, Israël remettrait en liberté cinq prisonniers libanais et le Hezbollah restituerait les deux soldats israéliens enlevés lors d'un raid à la frontière, qui avait déclenché la guerre de l'été 2006 entre l'Etat juif et le Hezbollah.
Le Hezbollah n'a à ce jour rien dit de la condition actuelle d'Ehud Goldwasser et Mark Regev.
Lors de la validation de l'échange par le gouvernement israélien, le 29 juin, le Premier ministre Ehud Olmert avait dit
à ses ministres, selon une source proche du cabinet, que les deux prisonniers n'avaient probablement pas survécu à leur enlèvement.
Les autorités israéliennes étaient arrivées à cette conclusion sur la base de tâches de sang et de traces d'explosion découvertes à l'endroit où la patrouille des deux soldats avait été attaquée. Huit autres militaires avaient péri.
Olmert avait dit avoir beaucoup hésité avant d'entériner l'accord d'échange, que le Hezbollah a accepté le 2 juillet. Il a été qualifié de "grande avancée" par le chef du mouvement chiite libanais, Hassan Nasrallah.
Les services pénitentiaires n'ont pas précisé où l'échange aurait lieu le long de la frontière israélo-libanaise.
Source: France 24