L'interprète irakien enlevé en même temps qu'un journaliste britannique de la chaîne américaine CBS lundi dans un hôtel du centre de Bassorah a été libéré mercredi, a annoncé le mouvement de l'imam radical chiite de Moktada Sadr.
Hares al Assari, chef de l'antenne du mouvement dans la grande ville du Sud irakien, a déclaré à Reuters que l'otage libéré avait été ramené à l'hôtel mais que le journaliste était encore détenu.
De son côté, un magistrat de Bassorah participant aux pourparlers, le juge Majid al Abadi, a fait savoir que le journaliste serait prochainement libéré. "Nous avons réceptionné l'interprète (...) et nous déployons des efforts pour obtenir la libération du reporter d'ici 24 heures", a-t-il dit.
Auparavant, le contre-amiral Gregory Smith, porte-parole des forces américaines en Irak, avait dit: "Nous espérons que les deux hommes seront remis en liberté dans les jours, voire les heures qui viennent".
Quelques heures plus tôt, Assari avait annoncé que le mouvement négociait avec les ravisseurs en vue de la libération des deux otages et que ceux-ci "seront relâchés".
"Nous sommes en conflit avec les forces britanniques à Bassorah, mais cela ne signifie pas que nous soyons en conflit avec le peuple britannique", avait ajouté Assari.
Hares al Assari, chef de l'antenne du mouvement dans la grande ville du Sud irakien, a déclaré à Reuters que l'otage libéré avait été ramené à l'hôtel mais que le journaliste était encore détenu.
De son côté, un magistrat de Bassorah participant aux pourparlers, le juge Majid al Abadi, a fait savoir que le journaliste serait prochainement libéré. "Nous avons réceptionné l'interprète (...) et nous déployons des efforts pour obtenir la libération du reporter d'ici 24 heures", a-t-il dit.
Auparavant, le contre-amiral Gregory Smith, porte-parole des forces américaines en Irak, avait dit: "Nous espérons que les deux hommes seront remis en liberté dans les jours, voire les heures qui viennent".
Quelques heures plus tôt, Assari avait annoncé que le mouvement négociait avec les ravisseurs en vue de la libération des deux otages et que ceux-ci "seront relâchés".
"Nous sommes en conflit avec les forces britanniques à Bassorah, mais cela ne signifie pas que nous soyons en conflit avec le peuple britannique", avait ajouté Assari.