Perte de 40% des Gazelles dans la réserve Sawa
Selon les déclarations des autorités irakiennes, on estime à environ une perte de 40% de ces animaux en un mois. Le Directeur de la réserve, Turki al-Jayashi, déclare qu’on dénombrait jusqu’à 148 gazelles dans la réserve. Malheureusement, il n’en reste que 87 à ce jour. Le reste a disparu par la faute des braconniers mais un changement climatique qui n’a pas manqué d’inconvénients sur l’alimentation des animaux.
La situation préoccupe au premier plan le gouvernement Irakien et son président qui y trouve une menace pour les générations à venir.
La situation préoccupe au premier plan le gouvernement Irakien et son président qui y trouve une menace pour les générations à venir.
Impacts du changement climatique dans la réserve Sawa
Il faut reconnaître selon le directeur de la réserve que celle-ci manquait un investissement sérieux de la part des autorités. On n’y trouvait pas de fourrage aussi à cause de la faiblesse des pluies dans la région. Les lacs s’assèchent assez rapidement laissant les animaux sans eau. En été, les températures avoisinent les 50° C ; ce qui est insupportable non seulement pour les animaux mais aussi pour les Humains.
Le changement climatique en a pour beaucoup selon le président Irakien. Pour Barham Saleh, il faut prendre des dispositions idoines pour sauver les futures générations de cette situation qui s’aggrave dans le temps. L’approvisionnement en nourriture pour les gazelles fait défaut dans la réserve Sawa et risque d’être pareil pour les Hommes.
Le changement climatique en a pour beaucoup selon le président Irakien. Pour Barham Saleh, il faut prendre des dispositions idoines pour sauver les futures générations de cette situation qui s’aggrave dans le temps. L’approvisionnement en nourriture pour les gazelles fait défaut dans la réserve Sawa et risque d’être pareil pour les Hommes.
La responsabilité de l’Etat Irakien ?
L’espèce classée « en danger » par l’Union internationale pour la conservation de la nature risque malheureusement de disparaître. S’il faut indexer le changement climatique, il faut aussi reconnaître le manque d’attention de l’Etat. Selon les déclarations du directeur de la réserve, il n’y a plus de versement de fonds nécessaires de la part du gouvernement depuis un moment. Une situation qui complique les choses alors qu’il faut faire face au climat de moins en moins propice pour les gazelles. La dernière saison hivernale a été sans la moindre goutte d’eau de pluie dans la région.
Les animaux n’ont pas de plantes pour se nourrir dans la région. Il faut signaler que 39% du territoire irakien est atteint par cette sécheresse qui menace la vie en Irak. Plantes, animaux et Humains sont menacés par le changement climatique.
Les animaux n’ont pas de plantes pour se nourrir dans la région. Il faut signaler que 39% du territoire irakien est atteint par cette sécheresse qui menace la vie en Irak. Plantes, animaux et Humains sont menacés par le changement climatique.