Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, condamne « fermement » la vague d'attentats meurtriers qui ont frappé l'Irak, lundi. M. Ban qualifie ces actes de « déplorables et injustifiables ».
C'est le message qu'a transmis son porte-parole, Martin Nesirky, lors d'un point de presse tenu à New York au lendemain des attentats. « Les Nations unies sont solidaires du peuple irakien face à ces actes déplorables et injustifiables », a ajouté M. Nesirky.
Lundi fut la journée la plus meurtrière de l'année en Irak. Des premières heures du matin jusqu'à tard le soir, 60 attaques ont été menées partout au pays, faisant plus de 110 morts et plus de 500 blessés.
Les autorités irakiennes ont accusé Al-Qaïda d'avoir commis les attentats en réponse à la mort des deux principaux chefs du réseau, le 18 avril dernier, lors d'une opération des forces irakiennes et américaines.
« Ces attentats portent la marque d'Al-Qaïda et en visant plusieurs régions, comme Bassora, Wassit ou Hilla, et plusieurs lieux et cibles sécurisés, ils ont voulu faire passer le message qu'ils peuvent frapper au même moment dans plusieurs endroits », a déclaré mardi le porte-parole du ministère de la Défense, Mohammed al-Askari.
Source: radio canada via yahoo
C'est le message qu'a transmis son porte-parole, Martin Nesirky, lors d'un point de presse tenu à New York au lendemain des attentats. « Les Nations unies sont solidaires du peuple irakien face à ces actes déplorables et injustifiables », a ajouté M. Nesirky.
Lundi fut la journée la plus meurtrière de l'année en Irak. Des premières heures du matin jusqu'à tard le soir, 60 attaques ont été menées partout au pays, faisant plus de 110 morts et plus de 500 blessés.
Les autorités irakiennes ont accusé Al-Qaïda d'avoir commis les attentats en réponse à la mort des deux principaux chefs du réseau, le 18 avril dernier, lors d'une opération des forces irakiennes et américaines.
« Ces attentats portent la marque d'Al-Qaïda et en visant plusieurs régions, comme Bassora, Wassit ou Hilla, et plusieurs lieux et cibles sécurisés, ils ont voulu faire passer le message qu'ils peuvent frapper au même moment dans plusieurs endroits », a déclaré mardi le porte-parole du ministère de la Défense, Mohammed al-Askari.
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