L'opération, qui a donné lieu à des arrestations dans 78 départements, a été baptisée "Arc-en-ciel", du nom d'une association italienne de défense des victimes qui est à l'origine de l'affaire.
L'association a découvert en début d'année qu'on pouvait télécharger sur internet un fichier avec 13 photos pédopornographiques mettant en scène des jeunes filles mineures et une enquête a montré que ce fichier était hébergé sur un serveur français.
Le document a été téléchargé 10.000 fois dans le monde et, notamment, par 310 internautes français qui ont été identifiés et arrêtés par la gendarmerie depuis le début de la semaine.
Les perquisitions menées par les gendarmes ont permis de saisir 2.100.000 photos et 28.000 vidéos pédopornographiques.
"Il n'y a pas de profil spécifique. Ce sont des hommes de tous milieux sociaux, aussi bien des éducateurs, des enseignants, informaticiens, chefs d'entreprise, militaires ou ouvriers. On en trouve partout sur le territoire, dans tous les milieux", dit-on à la direction générale de la gendarmerie.
Une vingtaine de personnes interpellées ont été mises hors de cause et 142 personnes étaient en garde à vue vendredi à la mi-journée.
Selon un décompte fourni par la gendarmerie, 144 personnes ont reconnu avoir consulté, voire diffusé, quantité d'images ou de vidéos pédopornographiques et certains suspects ont avoué des viols et des atteintes sexuelles sur des mineurs de leur entourage.
L'association a découvert en début d'année qu'on pouvait télécharger sur internet un fichier avec 13 photos pédopornographiques mettant en scène des jeunes filles mineures et une enquête a montré que ce fichier était hébergé sur un serveur français.
Le document a été téléchargé 10.000 fois dans le monde et, notamment, par 310 internautes français qui ont été identifiés et arrêtés par la gendarmerie depuis le début de la semaine.
Les perquisitions menées par les gendarmes ont permis de saisir 2.100.000 photos et 28.000 vidéos pédopornographiques.
"Il n'y a pas de profil spécifique. Ce sont des hommes de tous milieux sociaux, aussi bien des éducateurs, des enseignants, informaticiens, chefs d'entreprise, militaires ou ouvriers. On en trouve partout sur le territoire, dans tous les milieux", dit-on à la direction générale de la gendarmerie.
Une vingtaine de personnes interpellées ont été mises hors de cause et 142 personnes étaient en garde à vue vendredi à la mi-journée.
Selon un décompte fourni par la gendarmerie, 144 personnes ont reconnu avoir consulté, voire diffusé, quantité d'images ou de vidéos pédopornographiques et certains suspects ont avoué des viols et des atteintes sexuelles sur des mineurs de leur entourage.