Deux jours après sa sortie, Google Chrome fait déjà tiquer les défenseurs de la vie privée, notamment après la lecture des conditions générales d'utilisation du navigateur (CGU).
Elles précisaient, dans un premier temps, que Google s'arrogeait « une licence permanente, irrévocable, mondiale, gratuite et non exclusive permettant de reproduire, modifier et distribuer » n'importe quel contenu que l'internaute aurait envoyé via son navigateur. Les CGU indiquaient, par ailleurs, que ce contenu pouvait être mis à disposition d'autres sociétés partenaires de Google.
De nombreux utilisateurs ont immédiatement pointer les dérives de ce type de formulation. Du coup, le moteur de recherche a rapidement fait marche arrière. Modifiées, les CGU précisent maintenant que l'internaute conserve le copyright et tous les autres droits qu'il détient sur le contenu qu'il soumet, poste ou affiche via Chrome.
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Source Editoblog.eu, Blog d'entreprise
Elles précisaient, dans un premier temps, que Google s'arrogeait « une licence permanente, irrévocable, mondiale, gratuite et non exclusive permettant de reproduire, modifier et distribuer » n'importe quel contenu que l'internaute aurait envoyé via son navigateur. Les CGU indiquaient, par ailleurs, que ce contenu pouvait être mis à disposition d'autres sociétés partenaires de Google.
De nombreux utilisateurs ont immédiatement pointer les dérives de ce type de formulation. Du coup, le moteur de recherche a rapidement fait marche arrière. Modifiées, les CGU précisent maintenant que l'internaute conserve le copyright et tous les autres droits qu'il détient sur le contenu qu'il soumet, poste ou affiche via Chrome.
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