Au moins 40 personnes ont péri dans ces inondations, les pires dans le nord du Brésil depuis au moins 20 ans. Les communautés restent coupées du monde malgré le ralentissement de la pluie et deux morts ont été recensées dans un Etat jusqu'ici préservé.
Alors que les autorités signalaient une décrue générale, certaines rivières gonflaient encore dans l'Amazonas, un Etat composé de jungles, d'après Dorothea de Araujo, la responsable opérationnelle du groupe humanitaire World Vision. "La situation est difficile en raison de la taille de l'Etat, et du nombre des endroits qui sont inaccessibles. La nourriture et l'eau sont prioritaires parce que beaucoup de gens boivent de l'eau contaminée" a-t-elle souligné.
Dans l'Etat du Maranhao dans le nord-est, des routes sont de nouveau praticables et des camions et des hélicoptères ont commencé à distribué l'aide, des tonnes de nourriture, de médicaments, de matelas et de couvertures, amenés par des cargos de l'armée.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Alors que les autorités signalaient une décrue générale, certaines rivières gonflaient encore dans l'Amazonas, un Etat composé de jungles, d'après Dorothea de Araujo, la responsable opérationnelle du groupe humanitaire World Vision. "La situation est difficile en raison de la taille de l'Etat, et du nombre des endroits qui sont inaccessibles. La nourriture et l'eau sont prioritaires parce que beaucoup de gens boivent de l'eau contaminée" a-t-elle souligné.
Dans l'Etat du Maranhao dans le nord-est, des routes sont de nouveau praticables et des camions et des hélicoptères ont commencé à distribué l'aide, des tonnes de nourriture, de médicaments, de matelas et de couvertures, amenés par des cargos de l'armée.
Source: Associated Presse via Yahoo News