Aux îles Fidji, la population a reçu mardi la consigne de gagner des terres situées un peu plus haut, avant l'arrivée de nouvelles pluies cette semaine qui sont susceptibles de provoquer des inondations éclair, lesquelles ont déjà fait huit morts et déplacé des milliers de personnes.
Les Fidjiens circulaient à bord de radeaux de bambou dans les rues inondées, mardi, acheminant des personnes et des vivres. Les villageois s'employaient à évacuer le bétail pris au piège vers des zones plus sûres. "On prévoit de grands vents et une mer agitée et nous conseillons à la population de rester chez elle ou d'aller plus en hauteur", a déclaré le directeur de la météorologie nationale des îles Fidji, Rajendra Prasad.
Les autorités des Fidji ont proclamé l'état d'urgence et imposé des couvre-feux afin d'éviter les pillages dans les zones inondées et évacuées.
Certains responsables des situations d'urgence dans le Pacifique Sud pensent que les changements climatiques en cours auront pour conséquence une multiplication des inondations côtières, qui se conjugueront avec les grandes marées et avec des vagues énormes occasionnées par les dépressions tropicales porteuses de vents et de pluies abondantes, comme celle à laquelle ils ont affaire depuis décembre.
"Oui, le changement climatique fait des dégâts dans le Pacifique et nous nous attendons à ce que ça continue", a expliqué Martin Moses, directeur des services d'urgence de Papouasie-Nouvelle Guinée.
La Micronésie et les îles Marshall ont décrété l'état d'urgence en décembre et des milliers de personnes sont sans abri. En Papouasie, les habitants des îles du nord ont dû gagner des terres en hauteur pour échapper, lundi, aux inondations côtières, et l'on estimait ce jour-là à 70.000 le nombre de déplacés.
Les îles basses de Micronésie, des Marshall, de Papouasie-Nouvelle Guinée et des Salomon ont été les premières touchées par les inondations côtières début décembre, avec des vagues énormes conjuguées à de grandes marées, qui ont envahi des villages entiers.
Source: Yahoo News
Les Fidjiens circulaient à bord de radeaux de bambou dans les rues inondées, mardi, acheminant des personnes et des vivres. Les villageois s'employaient à évacuer le bétail pris au piège vers des zones plus sûres. "On prévoit de grands vents et une mer agitée et nous conseillons à la population de rester chez elle ou d'aller plus en hauteur", a déclaré le directeur de la météorologie nationale des îles Fidji, Rajendra Prasad.
Les autorités des Fidji ont proclamé l'état d'urgence et imposé des couvre-feux afin d'éviter les pillages dans les zones inondées et évacuées.
Certains responsables des situations d'urgence dans le Pacifique Sud pensent que les changements climatiques en cours auront pour conséquence une multiplication des inondations côtières, qui se conjugueront avec les grandes marées et avec des vagues énormes occasionnées par les dépressions tropicales porteuses de vents et de pluies abondantes, comme celle à laquelle ils ont affaire depuis décembre.
"Oui, le changement climatique fait des dégâts dans le Pacifique et nous nous attendons à ce que ça continue", a expliqué Martin Moses, directeur des services d'urgence de Papouasie-Nouvelle Guinée.
La Micronésie et les îles Marshall ont décrété l'état d'urgence en décembre et des milliers de personnes sont sans abri. En Papouasie, les habitants des îles du nord ont dû gagner des terres en hauteur pour échapper, lundi, aux inondations côtières, et l'on estimait ce jour-là à 70.000 le nombre de déplacés.
Les îles basses de Micronésie, des Marshall, de Papouasie-Nouvelle Guinée et des Salomon ont été les premières touchées par les inondations côtières début décembre, avec des vagues énormes conjuguées à de grandes marées, qui ont envahi des villages entiers.
Source: Yahoo News