Situés à Paris dans le XVe arrondissement de Paris, les locaux de l'Imprimerie nationale ont été vendus 85 millions d'euros en 2003 au fonds d'investissement américain Carlyle et rachetés récemment pour 376,7 millions d'euros au profit du ministère des Affaires étrangères.
Si "le rapport ne trouve rien à redire sur le rachat de cet immeuble par l'Etat en juin (...) l'IGF adresse en revanche de vives critiques à l'Imprimerie nationale qui aurait très mal vendu cet immeuble en 2003", écrit Le Figaro.
Le prix de vente "a été inférieur d'une dizaine de millions d'euros à ce qu'il aurait dû être (...) et d'environ 25 millions d'euros supplémentaires" si l'Imprimerie nationale avait fait les démarches nécessaires pour convertir 10.000 m2 de locaux en bureaux, selon le rapport cité par Le Figaro.
Au total, "l'Imprimerie nationale aurait pu empocher 120 millions d'euros (...) soit un manque à gagner de 35 millions", conclut le journal.
Le rapport dénonce aussi notamment les modalités de réglement incroyablement favorables à Carlyle, qui n'a payé son acquisition que début 2006, soit 31 mois après la signature de la promesse de vente le 19 juin 2003.
Si "le rapport ne trouve rien à redire sur le rachat de cet immeuble par l'Etat en juin (...) l'IGF adresse en revanche de vives critiques à l'Imprimerie nationale qui aurait très mal vendu cet immeuble en 2003", écrit Le Figaro.
Le prix de vente "a été inférieur d'une dizaine de millions d'euros à ce qu'il aurait dû être (...) et d'environ 25 millions d'euros supplémentaires" si l'Imprimerie nationale avait fait les démarches nécessaires pour convertir 10.000 m2 de locaux en bureaux, selon le rapport cité par Le Figaro.
Au total, "l'Imprimerie nationale aurait pu empocher 120 millions d'euros (...) soit un manque à gagner de 35 millions", conclut le journal.
Le rapport dénonce aussi notamment les modalités de réglement incroyablement favorables à Carlyle, qui n'a payé son acquisition que début 2006, soit 31 mois après la signature de la promesse de vente le 19 juin 2003.