Une pomme par jour maintient la mortalité vasculaire à distance, suggère une étude
Nous connaissons tous le dicton, « une pomme par jour éloigne le médecin ». Et cela pourrait s'avérer vrai après de nouvelles recherches suggère que manger une pomme une fois par jour peut être tout aussi bénéfique que l'utilisation quotidienne de statines quand il s'agit de prévenir les décès vasculaires chez les personnes de plus de 50 ans. C'est ce qui ressort d'une étude publiée dans le BMJ.
Les statines sont une classe de médicaments utilisés pour abaisser le cholestérol. Ils sont largement utilisés pour la prévention des maladies cardiaques récurrentes ou des accidents vasculaires cérébraux.
La prescription d'une statine à toute personne âgée de plus de 50 ans pourrait entraîner plus de 1 000 cas supplémentaires de maladie musculaire (myopathie) et plus de 10 000 autres cas de diabète.
Les chercheurs affirment que manger une pomme par jour pourrait réduire le nombre annuel de décès vasculaires au Royaume-Uni de 8 500, tandis que la consommation quotidienne de statines pourrait réduire le nombre de décès de 9 400 personnes.
Il y a aussi beaucoup d'autres avantages pour la santé de manger des pommes, comme l'a rapporté Medical News Today au début de l'année. Des recherches antérieures ont montré qu'elles pourraient réduire le risque de développer un cancer, une hypertension, un diabète et des maladies cardiaques.
Plus tôt cette année, Medical News Today a rapporté une étude suggérant que l'adoption d'un régime méditerranéen pourrait réduire le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral pour les personnes à haut risque.
Chaque jour, des études scientifiques apportent la preuve irréfutable de l’utilité des plantes contre des dizaines de troubles et maladies :
La margosse, avec ses principes actifs, les glucosides triterpéniques, aurait montré une capacité à diminuer l’obésité viscérale (mais il faut la prendre à un moment un peu particulier).
Le mélilot et l'hamamélis aideraient à lutter contre les varices et l'insuffisance veineuse.
La belladone serait non seulement un formidable calmant mais aussi un puissant antidouleur.
Contre le stress, le totum du ginseng serait particulièrement efficace.
Contre le diabète, le Garcinia Cambodgia aiderait à contrôler l’obésité, les triglycérides, le cholestérol ; cette plante serait aussi intéressante dans la lutte contre certains cancers.
Etc.
Je ne vais pas allonger la liste plus longtemps, mais la question qui se pose est évidemment : pourquoi est-ce que personne n’en parle ?
Il faut regarder du côté des grandes multinationales du médicament pour comprendre quel est le véritable enjeu des entreprises de santé.
Nous aider ? Hmmm… pas vraiment.
Les entreprises pharmaceutiques réalisent aujourd’hui des chiffres d’affaires proprement pharaoniques.
Et elles n’ont aucun intérêt au développement de la médecine par les plantes.
Au contraire.
Car ces plantes, contrairement aux molécules chimiques, elles ne peuvent pas les « breveter », ni les vendre vingt, cinquante ou cent fois leur prix réel.
Un spécialiste réputé des cancers du sang, le Pr Jean-Paul Vernant, a récemment déclaré dans une interview que les médicaments anticancer ont aujourd’hui « atteint un niveau de prix scandaleusement élevé »
Face à de tels enjeux financiers, il est logique que l’industrie du médicament fasse tout pour minimiser l’efficacité des plantes médicinales.
Soit en ne finançant pas les études qui permettraient de valider scientifiquement leurs bienfaits.
Soit, lorsque ceux-ci sont révélés au grand jour, en prenant soin de parler des plantes comme d’une « alternative », d’une médecine « complémentaire », « un petit truc en plus, tant que ça ne fait pas de mal »…
Leur message aux patients : « Mais oui, soignez-vous avez du foin si vous voulez… »
Leur message aux médecins : « Soyons sérieux… Vous n’avez pas fait dix ans d’études pour prescrire de la soupe aux orties… »
Voilà comment, depuis des années, on a transformé les plantes médicinales en « idiotes du village de la thérapeutique »
En d’autres termes, la plante peut déclencher dans l’organisme un processus d’autoguérison dont le médicament chimique pourrait nous priver généralement…
Mais croyez-vous que ce message puisse franchir la censure des grands laboratoires et de leurs médias officiels ?
Bien sûr que non !
Voilà pourquoi, contre leurs troubles et maladies, les Français commettent souvent l’erreur de se précipiter en premier lieu sur les pilules chimiques, dont on connaît parfois les dangers et les effets secondaires :
ILS FONCENT sur certains médicaments antidiabétiques aux effets secondaires avérés (nausées, troubles digestifs etc.) ; MAIS ILS OUBLIENT qu’en première intention ils pourraient utiliser la cannelle, le piment de Cayenne, la berbérine ou la gymnema (qui en plus ferait perdre du poids !).
ILS FONCENT sur les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine) qui pourraient provoquer une accoutumance et pourraient donner de dangereux troubles nerveux ; MAIS ILS IGNORENT TOUT de la lavande ou du millerpertuis.
ILS FONCENT sur les somnifères, qui pourraient dérègler le rythme du sommeil naturel ; MAIS SAVENT-ILS qu’en cas d’insomnie, boire une tisane d’Eschscholzia californica serait un puissant inducteur de sommeil naturel ?
ILS FONCENT sur les médicaments « contre l’ostéoporose », qui fragilisent les os et augmentent le risque de fracture, donnent des douleurs articulaires [5] ; MAIS SAVENT-ILS qu’ils ont dans leur propre jardin des plantes minéralisantes aux propriétés exceptionnelles ( luzerne, cataire, prêle, ortie) ?
Alors je pose la question : où est la FOLIE, l’IRRESPONSABILITÉ ?
Chez ceux qui affirment que « les plantes médicinales ou du foin, c’est pareil » ?
Ou dans le système de soins actuel ? Un système :
Où 98 % des prescriptions des médecins concernent des médicaments chimiques !
Où l’étude des plantes médicinales n’occupe plus que quelques minutes du programme des 10 années d’études nécessaires pour devenir médecin (et encore les étudiants n’évoquent que 30 petites plantes sur les 28 000 plantes médicinales couramment utilisées sur la planète aujourd’hui [6]…).
Où les derniers herboristes qui résistent sont traqués comme des voleurs, poursuivis en justice lorsqu’ils osent mettre en avant les vertus médicinales d’une plante [7].
Etc.
LA FOLIE, C’EST DE CONTINUER À IGNORER LE FABULEUX POUVOIR DE SOIN DES PLANTES MÉDICINALES.
Parce qu’elles peuvent faire, vous allez voir, toute la différence pour votre santé.
Source : Pure Santé
[1] http://www.medicalnewstoday.com/articles/270298.php
[2] Voir directive européenne 24/2004/CE (ou THMPD)
[3] Site Slate : le prix immoral des nouveaux médicaments anti-cancer
[4] Pierre Lieutaghi, Le Livre des Bonnes Herbes.
[5] Site Le temps, Il fragilise le squelette au lieu de le renforcer
[6] Plantes & Santé, « Le potentiel des plantes médicinales reste énorme »
[7] Réseau International, Paris : un célèbre herboriste condamné pour «exercice illégal de la pharmacie»
[8] Santé Corps Esprit, septembre 2017
Nous connaissons tous le dicton, « une pomme par jour éloigne le médecin ». Et cela pourrait s'avérer vrai après de nouvelles recherches suggère que manger une pomme une fois par jour peut être tout aussi bénéfique que l'utilisation quotidienne de statines quand il s'agit de prévenir les décès vasculaires chez les personnes de plus de 50 ans. C'est ce qui ressort d'une étude publiée dans le BMJ.
Les statines sont une classe de médicaments utilisés pour abaisser le cholestérol. Ils sont largement utilisés pour la prévention des maladies cardiaques récurrentes ou des accidents vasculaires cérébraux.
La prescription d'une statine à toute personne âgée de plus de 50 ans pourrait entraîner plus de 1 000 cas supplémentaires de maladie musculaire (myopathie) et plus de 10 000 autres cas de diabète.
Les chercheurs affirment que manger une pomme par jour pourrait réduire le nombre annuel de décès vasculaires au Royaume-Uni de 8 500, tandis que la consommation quotidienne de statines pourrait réduire le nombre de décès de 9 400 personnes.
Il y a aussi beaucoup d'autres avantages pour la santé de manger des pommes, comme l'a rapporté Medical News Today au début de l'année. Des recherches antérieures ont montré qu'elles pourraient réduire le risque de développer un cancer, une hypertension, un diabète et des maladies cardiaques.
Plus tôt cette année, Medical News Today a rapporté une étude suggérant que l'adoption d'un régime méditerranéen pourrait réduire le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral pour les personnes à haut risque.
Chaque jour, des études scientifiques apportent la preuve irréfutable de l’utilité des plantes contre des dizaines de troubles et maladies :
La margosse, avec ses principes actifs, les glucosides triterpéniques, aurait montré une capacité à diminuer l’obésité viscérale (mais il faut la prendre à un moment un peu particulier).
Le mélilot et l'hamamélis aideraient à lutter contre les varices et l'insuffisance veineuse.
La belladone serait non seulement un formidable calmant mais aussi un puissant antidouleur.
Contre le stress, le totum du ginseng serait particulièrement efficace.
Contre le diabète, le Garcinia Cambodgia aiderait à contrôler l’obésité, les triglycérides, le cholestérol ; cette plante serait aussi intéressante dans la lutte contre certains cancers.
Etc.
Je ne vais pas allonger la liste plus longtemps, mais la question qui se pose est évidemment : pourquoi est-ce que personne n’en parle ?
Il faut regarder du côté des grandes multinationales du médicament pour comprendre quel est le véritable enjeu des entreprises de santé.
Nous aider ? Hmmm… pas vraiment.
Les entreprises pharmaceutiques réalisent aujourd’hui des chiffres d’affaires proprement pharaoniques.
Et elles n’ont aucun intérêt au développement de la médecine par les plantes.
Au contraire.
Car ces plantes, contrairement aux molécules chimiques, elles ne peuvent pas les « breveter », ni les vendre vingt, cinquante ou cent fois leur prix réel.
Un spécialiste réputé des cancers du sang, le Pr Jean-Paul Vernant, a récemment déclaré dans une interview que les médicaments anticancer ont aujourd’hui « atteint un niveau de prix scandaleusement élevé »
Face à de tels enjeux financiers, il est logique que l’industrie du médicament fasse tout pour minimiser l’efficacité des plantes médicinales.
Soit en ne finançant pas les études qui permettraient de valider scientifiquement leurs bienfaits.
Soit, lorsque ceux-ci sont révélés au grand jour, en prenant soin de parler des plantes comme d’une « alternative », d’une médecine « complémentaire », « un petit truc en plus, tant que ça ne fait pas de mal »…
Leur message aux patients : « Mais oui, soignez-vous avez du foin si vous voulez… »
Leur message aux médecins : « Soyons sérieux… Vous n’avez pas fait dix ans d’études pour prescrire de la soupe aux orties… »
Voilà comment, depuis des années, on a transformé les plantes médicinales en « idiotes du village de la thérapeutique »
En d’autres termes, la plante peut déclencher dans l’organisme un processus d’autoguérison dont le médicament chimique pourrait nous priver généralement…
Mais croyez-vous que ce message puisse franchir la censure des grands laboratoires et de leurs médias officiels ?
Bien sûr que non !
Voilà pourquoi, contre leurs troubles et maladies, les Français commettent souvent l’erreur de se précipiter en premier lieu sur les pilules chimiques, dont on connaît parfois les dangers et les effets secondaires :
ILS FONCENT sur certains médicaments antidiabétiques aux effets secondaires avérés (nausées, troubles digestifs etc.) ; MAIS ILS OUBLIENT qu’en première intention ils pourraient utiliser la cannelle, le piment de Cayenne, la berbérine ou la gymnema (qui en plus ferait perdre du poids !).
ILS FONCENT sur les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine) qui pourraient provoquer une accoutumance et pourraient donner de dangereux troubles nerveux ; MAIS ILS IGNORENT TOUT de la lavande ou du millerpertuis.
ILS FONCENT sur les somnifères, qui pourraient dérègler le rythme du sommeil naturel ; MAIS SAVENT-ILS qu’en cas d’insomnie, boire une tisane d’Eschscholzia californica serait un puissant inducteur de sommeil naturel ?
ILS FONCENT sur les médicaments « contre l’ostéoporose », qui fragilisent les os et augmentent le risque de fracture, donnent des douleurs articulaires [5] ; MAIS SAVENT-ILS qu’ils ont dans leur propre jardin des plantes minéralisantes aux propriétés exceptionnelles ( luzerne, cataire, prêle, ortie) ?
Alors je pose la question : où est la FOLIE, l’IRRESPONSABILITÉ ?
Chez ceux qui affirment que « les plantes médicinales ou du foin, c’est pareil » ?
Ou dans le système de soins actuel ? Un système :
Où 98 % des prescriptions des médecins concernent des médicaments chimiques !
Où l’étude des plantes médicinales n’occupe plus que quelques minutes du programme des 10 années d’études nécessaires pour devenir médecin (et encore les étudiants n’évoquent que 30 petites plantes sur les 28 000 plantes médicinales couramment utilisées sur la planète aujourd’hui [6]…).
Où les derniers herboristes qui résistent sont traqués comme des voleurs, poursuivis en justice lorsqu’ils osent mettre en avant les vertus médicinales d’une plante [7].
Etc.
LA FOLIE, C’EST DE CONTINUER À IGNORER LE FABULEUX POUVOIR DE SOIN DES PLANTES MÉDICINALES.
Parce qu’elles peuvent faire, vous allez voir, toute la différence pour votre santé.
Source : Pure Santé
[1] http://www.medicalnewstoday.com/articles/270298.php
[2] Voir directive européenne 24/2004/CE (ou THMPD)
[3] Site Slate : le prix immoral des nouveaux médicaments anti-cancer
[4] Pierre Lieutaghi, Le Livre des Bonnes Herbes.
[5] Site Le temps, Il fragilise le squelette au lieu de le renforcer
[6] Plantes & Santé, « Le potentiel des plantes médicinales reste énorme »
[7] Réseau International, Paris : un célèbre herboriste condamné pour «exercice illégal de la pharmacie»
[8] Santé Corps Esprit, septembre 2017