Sous la menace d'un revers électoral après huit ans de règne à la tête de ce géant pétrolier latino-américain, cet ancien officier putschiste de 53 ans, allié du dirigeant cubain Fidel Castro, peine à imposer sa réforme qui lui permettrait de se représenter indéfiniment à la présidentielle.
Le dernier sondage, publié par l'institut privé Hinterlaces, prédit un scrutin extrêmement serré avec une très légère avance du "non", suscitant la crainte de violences.
Dès l'aube, les sympathisants du régime sillonnaient les rues de la capitale pour appeler les habitants à répondre à la manifestation sans précédent de l'opposition, qui a réuni la veille au même endroit des dizaines de milliers de personnes.
"Vous allez voir la différence. Nous représentons le vrai peuple et nous allons vraiment remplir les rues", affirme à l'AFP Jesus Guttierez, qui anime un stand d'information baptisé "point rouge", près de la place Altamira, une des plus grandes de la ville.
Pour lire l'article dans sa totalité: edicom.ch/news/international
Le dernier sondage, publié par l'institut privé Hinterlaces, prédit un scrutin extrêmement serré avec une très légère avance du "non", suscitant la crainte de violences.
Dès l'aube, les sympathisants du régime sillonnaient les rues de la capitale pour appeler les habitants à répondre à la manifestation sans précédent de l'opposition, qui a réuni la veille au même endroit des dizaines de milliers de personnes.
"Vous allez voir la différence. Nous représentons le vrai peuple et nous allons vraiment remplir les rues", affirme à l'AFP Jesus Guttierez, qui anime un stand d'information baptisé "point rouge", près de la place Altamira, une des plus grandes de la ville.
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