Il déclare ne pas les avoir obtenues de la guérilla des Farc.
La visite de M. Chavez avait suscité de grands espoirs auprès de la famille de la Franco-colombienne Ingrid Betancourt. Chargé d'une médiation dans ce dossier, il avait assuré qu'il ne viendrait pas "les mains vides" à Paris. Ingrid Betancourt, enlevée par les Frac en 2002, était apparue pour la dernière fois sur une vidéo en août 2003.
Après son déjeuner avec M. Sarkozy, le président vénézuélien a assuré que le chef de la guérilla colombienne des Farc, Manuel Marulanda, s'était engagé par écrit à fournir les preuves attendues "avant la fin de l'année". M. Chavez a réitéré sa conviction qu'Ingrid Betancourt était en vie.
La Colombie a donné jusqu'à la fin de l'année à Hugo Chavez pour s'efforcer d'obtenir la libération des otages des Farc, dont Ingrid Betancourt. Ce communiqué du gouvernement atteste de l'impatience du président conservateur Alvaro Uribe vis-à-vis de cette médiation entamée par le dirigeant de gauche.
"C'est la façon qu'Uribe a de dire que Chavez n'a pas carte blanche pour s'impliquer dans les affaires intérieures de la Colombie", a indiqué le commentateur politique Ricardo Avila.
La visite de M. Chavez avait suscité de grands espoirs auprès de la famille de la Franco-colombienne Ingrid Betancourt. Chargé d'une médiation dans ce dossier, il avait assuré qu'il ne viendrait pas "les mains vides" à Paris. Ingrid Betancourt, enlevée par les Frac en 2002, était apparue pour la dernière fois sur une vidéo en août 2003.
Après son déjeuner avec M. Sarkozy, le président vénézuélien a assuré que le chef de la guérilla colombienne des Farc, Manuel Marulanda, s'était engagé par écrit à fournir les preuves attendues "avant la fin de l'année". M. Chavez a réitéré sa conviction qu'Ingrid Betancourt était en vie.
La Colombie a donné jusqu'à la fin de l'année à Hugo Chavez pour s'efforcer d'obtenir la libération des otages des Farc, dont Ingrid Betancourt. Ce communiqué du gouvernement atteste de l'impatience du président conservateur Alvaro Uribe vis-à-vis de cette médiation entamée par le dirigeant de gauche.
"C'est la façon qu'Uribe a de dire que Chavez n'a pas carte blanche pour s'impliquer dans les affaires intérieures de la Colombie", a indiqué le commentateur politique Ricardo Avila.