"C'est le début du salut de notre peuple", a lancé le président socialiste dans son discours d'ouverture de la réunion, qui s'achève ce dimanche.
Parmi ses hôtes figurent Mouammar Kadhafi, à la tête de la Libye depuis quatre décennies, ainsi que Robert Mugabe, 85 ans, qui dirige le Zimbabwe depuis son accession à l'indépendance il y a près de trente ans.
Chavez gouverne le Venezuela depuis à peine plus de dix ans, mais il ne fait pas mystère de son désir de se maintenir encore longtemps à la présidence pour transformer le pays en un Etat socialiste.
Il a expliqué que ce deuxième sommet afro-latino américain, auquel participent de nombreux présidents récemment élus, aiderait leurs pays, le plus souvent pauvres, à resserrer leurs liens commerciaux et à réduire leur dépendance envers l'Europe et les Etats-Unis.
"Le XXIe siècle ne sera pas un monde bipolaire, il ne sera pas unipolaire. Il sera multipolaire. L'Afrique sera un pôle géographique, économique et social important, tout comme l'Amérique du Sud", a-t-il ajouté dans son discours.
Le modèle d'ouverture à la libre entreprise alliée des préoccupations sociales, cher au Brésil et à l'Afrique du Sud représentés par leurs présidents respectifs, semble toutefois attirer de nombreux pays africains davantage que l'approche plus radicale de Chavez.
Les dirigeants doivent signer dimanche un document approuvant le renforcement des liens entre les deux continents et appelant les institutions internationales comme l'Onu ou la Banque mondiale à leur accorder plus de poids.
Certains analystes estiment que des économies émergentes telles que le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine pourraient éclipser les économies des pays les plus riches d'ici 2050.
Kadhafi, qui a fait venir spécialement une limousine blanche au Venezuela, n'est pas passé inaperçu. Il est venu accompagné d'une suite remplissant deux Airbus et il a planté une grande tente de bédouin à côté de la piscine du Hilton.
"Le monde n'est pas les cinq pays du Conseil de sécurité", a déclaré le dirigeant libyen. "Les puissances mondiales veulent continuer à préserver leur pouvoir. Quand ils ont eu l'occasion de nous aider, ils nous ont traités comme des animaux, ils ont détruit nos terres. Nous avons aujourd'hui la chance de construire notre propre puissance."
Source: Reuters via Yahoo News
Parmi ses hôtes figurent Mouammar Kadhafi, à la tête de la Libye depuis quatre décennies, ainsi que Robert Mugabe, 85 ans, qui dirige le Zimbabwe depuis son accession à l'indépendance il y a près de trente ans.
Chavez gouverne le Venezuela depuis à peine plus de dix ans, mais il ne fait pas mystère de son désir de se maintenir encore longtemps à la présidence pour transformer le pays en un Etat socialiste.
Il a expliqué que ce deuxième sommet afro-latino américain, auquel participent de nombreux présidents récemment élus, aiderait leurs pays, le plus souvent pauvres, à resserrer leurs liens commerciaux et à réduire leur dépendance envers l'Europe et les Etats-Unis.
"Le XXIe siècle ne sera pas un monde bipolaire, il ne sera pas unipolaire. Il sera multipolaire. L'Afrique sera un pôle géographique, économique et social important, tout comme l'Amérique du Sud", a-t-il ajouté dans son discours.
Le modèle d'ouverture à la libre entreprise alliée des préoccupations sociales, cher au Brésil et à l'Afrique du Sud représentés par leurs présidents respectifs, semble toutefois attirer de nombreux pays africains davantage que l'approche plus radicale de Chavez.
Les dirigeants doivent signer dimanche un document approuvant le renforcement des liens entre les deux continents et appelant les institutions internationales comme l'Onu ou la Banque mondiale à leur accorder plus de poids.
Certains analystes estiment que des économies émergentes telles que le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine pourraient éclipser les économies des pays les plus riches d'ici 2050.
Kadhafi, qui a fait venir spécialement une limousine blanche au Venezuela, n'est pas passé inaperçu. Il est venu accompagné d'une suite remplissant deux Airbus et il a planté une grande tente de bédouin à côté de la piscine du Hilton.
"Le monde n'est pas les cinq pays du Conseil de sécurité", a déclaré le dirigeant libyen. "Les puissances mondiales veulent continuer à préserver leur pouvoir. Quand ils ont eu l'occasion de nous aider, ils nous ont traités comme des animaux, ils ont détruit nos terres. Nous avons aujourd'hui la chance de construire notre propre puissance."
Source: Reuters via Yahoo News