Le premier secrétaire du PS invite les socialistes à mettre de côté leurs rivalités pour poser les questions de fond, dans une tribune publiée dans Le Monde.
Le recadrage du premier secrétaire, qui ne briguera pas sa succession lors du congrès du parti en novembre, intervient alors que des présidentiables socialistes comme Ségolène Royal et Bertrand Delanoë ont commencé à croiser le fer.
"L'unité est un combat, tant la propension aux querelles - parfois tactiquement entretenues - est récurrente", écrit François Hollande, qui se félicite "d'avoir su les surmonter".
"La première qualité de mon successeur sera d'y parvenir sur la base d'une ligne politique cohérente présentée par une majorité regroupant, autour d'un contrat, ceux qui pensent tout simplement la même chose", ajoute-t-il.
Lors du congrès, les socialistes devront "mener les débats nécessaires mais aussi (...) les clore par une décision qui s'impose à tous", dit-il. "La discipline de vote - celle issue des délibérations des instances représentatives des adhérents et a fortiori des militants eux-mêmes - est la première condition de la crédibilité du PS."
"On ne peut prétendre vouloir lutter contre l'individualisme qui ronge notre société et l'installer au coeur de notre propre formation politique", ajoute-t-il. Source: news.yahoo.com
Le recadrage du premier secrétaire, qui ne briguera pas sa succession lors du congrès du parti en novembre, intervient alors que des présidentiables socialistes comme Ségolène Royal et Bertrand Delanoë ont commencé à croiser le fer.
"L'unité est un combat, tant la propension aux querelles - parfois tactiquement entretenues - est récurrente", écrit François Hollande, qui se félicite "d'avoir su les surmonter".
"La première qualité de mon successeur sera d'y parvenir sur la base d'une ligne politique cohérente présentée par une majorité regroupant, autour d'un contrat, ceux qui pensent tout simplement la même chose", ajoute-t-il.
Lors du congrès, les socialistes devront "mener les débats nécessaires mais aussi (...) les clore par une décision qui s'impose à tous", dit-il. "La discipline de vote - celle issue des délibérations des instances représentatives des adhérents et a fortiori des militants eux-mêmes - est la première condition de la crédibilité du PS."
"On ne peut prétendre vouloir lutter contre l'individualisme qui ronge notre société et l'installer au coeur de notre propre formation politique", ajoute-t-il. Source: news.yahoo.com