Une nouvelle technique est testée pour la première fois en France sur la presqu'île de Saint-Pierre de Quiberon, l'une des plus importantes zones d'ombre du département pour l'accès à l'ADSL, avec plus de 200 lignes téléphoniques non éligibles à cette technologie, selon le porte-parole du Conseil général, Davy Dano.
Dans le Morbihan, département rural à l'habitat diffus, 99% des foyers ont accès au haut débit. La nouvelle technique s'adresse au 1% restant, selon M. Dano.
Avec les fils de cuivre ordinairement utilisés pour les lignes téléphoniques, il y a une perte de débit pour l'ADSL à partir de 6 km. Les hameaux situés trop loin du réseau général des opérateurs sont donc loin des "autoroutes de l'information", explique François Leclerc, porte-parole de France Télécom.
L'opération menée par le Conseil général et France Télécom vise à se rapprocher de ces points non desservis en installant des sous répartiteurs, des boîtiers qui redistribuent les lignes téléphoniques, eux-mêmes desservis par une liaison de fibre optique.
Pour le premier sous-répartiteur de Penthièvre, le département a pris en charge 47.000 euros d'infrastructures, notamment les gaines pour passer les câbles. Dans les années à venir, le département souhaite étendre cette solution à d'autres zones d'ombres du haut débit.
Dans le Morbihan, département rural à l'habitat diffus, 99% des foyers ont accès au haut débit. La nouvelle technique s'adresse au 1% restant, selon M. Dano.
Avec les fils de cuivre ordinairement utilisés pour les lignes téléphoniques, il y a une perte de débit pour l'ADSL à partir de 6 km. Les hameaux situés trop loin du réseau général des opérateurs sont donc loin des "autoroutes de l'information", explique François Leclerc, porte-parole de France Télécom.
L'opération menée par le Conseil général et France Télécom vise à se rapprocher de ces points non desservis en installant des sous répartiteurs, des boîtiers qui redistribuent les lignes téléphoniques, eux-mêmes desservis par une liaison de fibre optique.
Pour le premier sous-répartiteur de Penthièvre, le département a pris en charge 47.000 euros d'infrastructures, notamment les gaines pour passer les câbles. Dans les années à venir, le département souhaite étendre cette solution à d'autres zones d'ombres du haut débit.