Les Français ont confirmé leur montée en régime dans cet Euro autrichien en matant l'Islande 36-28 en demi-finale.
Emmenée par un grand Nikola Karabatic, auteur de neuf buts, la France n'a jamais douté face à un adversaire qu'elle avait déjà battu en finale des Jeux olympiques de Pékin en 2008.
"Encore une finale, on va la préparer comme si c'était la première, avec beaucoup d'attention, de précision", a dit Claude Onesta, l'entraîneur des Bleus.
Le dernier adversaire des Français sera donc la Croatie, qui a battu la Pologne 24-21 dans la deuxième demi-finale. Un adversaire que les Français connaissent bien et qui a une revanche à prendre puisque les Bleus avaient dominé les Croates chez eux en finale du championnat du monde l'an dernier.
"Ce sera difficile. Les Croates, on les connaît par coeur", a dit Jérôme Fernandez, le capitaine français. "Mais on aura un bel avantage, on aura deux ou trois heures de récupération de plus qu'eux."
La rencontre a débuté lentement, le premier but étant marqué après près de quatre minutes par les Islandais. Les deux équipes restaient ensuite au coude à coude avant que les Bleus ne parviennent à enchaîner trois buts pour porter le score à 9-6 après un peu plus d'un quart d'heure.
Les Français parvenaient ensuite à maintenir péniblement un écart de deux buts mais l'Islande finissait par revenir à égalité 12-12. A 13 partout, Nikola Karabatic se déchaînait et enchaînait trois buts de rang pour porter le score à 16-13.
A la fin de la première période, où Karabatic s'est montré le plus prolifique avec six buts et 100% de réussite dans ses tentatives, les Français menaient 16-14.
"Il y a des moments dans un match où l'on sent qu'individuellement, on peut faire quelque chose. J'ai fait la différence et après, on s'est lâché", a dit Karabatic.
En deuxième période, lancée par deux arrêts de Thierry Omeyer, toujours impérial dans sa cage, l'équipe de France creusait encore l'écart, grâce notamment à Karabatic et Michaël Guigou, pour mener de huit buts (26-18 à la 41e minute).
Dans le dernier quart d'heure où ils s'étaient souvent montrés fébriles lors des précédentes rencontre de cet Euro, les Bleus maîtrisaient parfaitement leurs coriaces adversaires pour conclure victorieusement.
"C'est certainement le match le plus plein de l'équipe de France depuis le début, aussi bien en attaque qu'en défense", a résumé Didier Dinart.
Source: Reuters via Yahoo News
Emmenée par un grand Nikola Karabatic, auteur de neuf buts, la France n'a jamais douté face à un adversaire qu'elle avait déjà battu en finale des Jeux olympiques de Pékin en 2008.
"Encore une finale, on va la préparer comme si c'était la première, avec beaucoup d'attention, de précision", a dit Claude Onesta, l'entraîneur des Bleus.
Le dernier adversaire des Français sera donc la Croatie, qui a battu la Pologne 24-21 dans la deuxième demi-finale. Un adversaire que les Français connaissent bien et qui a une revanche à prendre puisque les Bleus avaient dominé les Croates chez eux en finale du championnat du monde l'an dernier.
"Ce sera difficile. Les Croates, on les connaît par coeur", a dit Jérôme Fernandez, le capitaine français. "Mais on aura un bel avantage, on aura deux ou trois heures de récupération de plus qu'eux."
La rencontre a débuté lentement, le premier but étant marqué après près de quatre minutes par les Islandais. Les deux équipes restaient ensuite au coude à coude avant que les Bleus ne parviennent à enchaîner trois buts pour porter le score à 9-6 après un peu plus d'un quart d'heure.
Les Français parvenaient ensuite à maintenir péniblement un écart de deux buts mais l'Islande finissait par revenir à égalité 12-12. A 13 partout, Nikola Karabatic se déchaînait et enchaînait trois buts de rang pour porter le score à 16-13.
A la fin de la première période, où Karabatic s'est montré le plus prolifique avec six buts et 100% de réussite dans ses tentatives, les Français menaient 16-14.
"Il y a des moments dans un match où l'on sent qu'individuellement, on peut faire quelque chose. J'ai fait la différence et après, on s'est lâché", a dit Karabatic.
En deuxième période, lancée par deux arrêts de Thierry Omeyer, toujours impérial dans sa cage, l'équipe de France creusait encore l'écart, grâce notamment à Karabatic et Michaël Guigou, pour mener de huit buts (26-18 à la 41e minute).
Dans le dernier quart d'heure où ils s'étaient souvent montrés fébriles lors des précédentes rencontre de cet Euro, les Bleus maîtrisaient parfaitement leurs coriaces adversaires pour conclure victorieusement.
"C'est certainement le match le plus plein de l'équipe de France depuis le début, aussi bien en attaque qu'en défense", a résumé Didier Dinart.
Source: Reuters via Yahoo News