Le scrutin qui s’est qui s’est émaillé de violence avec la réélection d’alpha Condé a un arrière-goût amer en France. Le président Macron avait exprimé son état d’âme consternant la situation en Guinée dans une interview accordée à Jeune Afrique.
Emmanuel Macron estime que "la situation est grave en Guinée". Il regrette que le président Alpha Condé, réélu en octobre, ait "organisé un référendum et un changement de la Constitution uniquement pour pouvoir garder le pouvoir". C’est la raison pour laquelle "je ne lui ai pas encore adressé de lettre de félicitations" assène le président de la République.
Par ailleurs, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian a déclaré lors de son audition au Sénat la semaine dernière que Paris tient à ce que les autorités guinéennes mettent la lumière sur les récents événements survenus dans le pays. Il a même prévenu : si cette lumière n’est pas faite, des mesures pourront être prises contre Conakry.
« Avec l'Union européenne, nous avons demandé aux autorités de Guinée de faire toute la lumière sur les événements qui se déroulent en ce moment avec éventuellement des mesures à prendre si cette lumière n’est pas faite. Ce qui n’est pas le cas. Avec l'Union européenne, nous avons demandé aux autorités de Guinée de faire toute la lumière sur les événements qui se déroulent en ce moment avec éventuellement des mesures à prendre si cette lumière n’est pas faite. » a déclaré Jean yves le drian.
Il conclut que la France continuera de poursuivre son aide à la population guinéenne pour qu’elle ne soit pas deux victimes de ces comportements.
Emmanuel Macron estime que "la situation est grave en Guinée". Il regrette que le président Alpha Condé, réélu en octobre, ait "organisé un référendum et un changement de la Constitution uniquement pour pouvoir garder le pouvoir". C’est la raison pour laquelle "je ne lui ai pas encore adressé de lettre de félicitations" assène le président de la République.
Par ailleurs, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian a déclaré lors de son audition au Sénat la semaine dernière que Paris tient à ce que les autorités guinéennes mettent la lumière sur les récents événements survenus dans le pays. Il a même prévenu : si cette lumière n’est pas faite, des mesures pourront être prises contre Conakry.
« Avec l'Union européenne, nous avons demandé aux autorités de Guinée de faire toute la lumière sur les événements qui se déroulent en ce moment avec éventuellement des mesures à prendre si cette lumière n’est pas faite. Ce qui n’est pas le cas. Avec l'Union européenne, nous avons demandé aux autorités de Guinée de faire toute la lumière sur les événements qui se déroulent en ce moment avec éventuellement des mesures à prendre si cette lumière n’est pas faite. » a déclaré Jean yves le drian.
Il conclut que la France continuera de poursuivre son aide à la population guinéenne pour qu’elle ne soit pas deux victimes de ces comportements.